Royal Enfield sait faire monter la pression au sujet de son nouveau modèle Himalayan. Depuis des mois, on voit la moto dans son Inde natale affronter les pires conditions de manière parfois précaire et sans jamais faire dans le statutaire. On peut même dire qu'elle joue la carte de la modestie.
André Lecondé
Lui écrireUne Formule 1 descendant à allure soutenue une piste de ski enneigée mondialement réputée pour sa difficulté, voilà le spectacle de choix que nous a offert l’écurie Toro Rosso la semaine dernière. Un événement qui a rassemblé plus de 3 500 fans sous la bannière Red Bull qui en profitait pour faire aussi la promotion de son prochain Grand Prix national d’Autriche. Certes. Mais on a beau être du cru, ce n’est pas pour autant que l’on est en odeur de sainteté avec les autorités locales.
Cette année, Yamaha s'est offert non pas un mais deux Rossi dans son écurie. Le premier sera en MotoGP avc une M1 et le second qui parle le français défendra la cause de la R1 en mondial d'Endurance. Louis Rossi rebondit après avoir usé son cuir en Grand Prix.
Chez Yamaha, il n'y aura pas que le MotoGP à se mettre sous la dent. La marque aux trois diapasons nous fera la totale en vitesse moto puisque 2016 marquera son grand retour dans la catégorie Superbike. La nouvelle M1 sera son arme qu'elle espère fatale pour faire mordre la poussière aux Ducati et maîtriser la redoutable Kawasaki.
Il sera décidément difficile d'aborder la prochaine saison 2016 de MotoGP sans évoquer les passifs de la campagne 2015. Tout simplement parce-ce ces dernier ne sont pas apurés. Valentino Rossi n'a toujours pas digéré sa défaite et les circonstances de celle-ci.
Lors de la présentation Yamaha en vue de la saison 2016 du MotoGP il a été beaucoup question de la nouvelle donne technique. Il faut dire qu'avec une électronique maintenant unique et des pneumatiques Michelin en lieu et place de Bridgestone, il y a carrément de quoi redistribuer les cartes.
Comme convenu la présentation Yamaha pour le MotoGP version 2016 a eu lieu du côté de Barcelone. Sans tomber dans les bras l'un de l'autre, Jorge Lorenzo et Valentino Rossi étaient réunis pour cette veillée d'armes avant de partir pour Sepang et les premiers tests de l'année.
Le trail d'Hamamatsu a de nombreuses qualités mais semble souffrir d'une faiblesse électrique. Qui peut, à long terme, se révéler incapacitant. C'est du moins ce qu'ont révélé des rapports venus de différents coins de la planète qui ont poussé Suzuki à mettre au point des actions correctives.
La cause des voitures autonomes fait inexorablement son chemin. On sait que la Grande Bretagne pense au futur code de la route adapté à cette nouvelle ère, un peu partout des voies dédiées apparaissent dans les pays pour tester ces nouveaux engins et l’ensemble des acteurs ont convenu que le grand saut serait pour 2020. Mais il reste encore beaucoup de question en suspens, chacun travaillant surtout de son côté. « Nous avons besoin d'une direction claire et de garde-fou » a commenté John Krafcik, à la tête du projet de voiture autonome Google Car. Un message reçu par Barak Obama, le président des Etats-Unis.
Lorsque le groupe Bolloré s’est lancé dans l’aventure de la propulsion électrique il y a déjà 22 ans, c’était un grand saut dans l’inconnu. A l’époque, rien n’assurait à cette enseigne française impliquée dans la logistique, les transports, les médias ou l’énergie le succès d’une batterie lithium-métal-polymère (LMP) qui a nécessité au total 3 milliards d’euros d’investissement. Mais le pari a été gagnant. A tel point qu’après des voitures appelées Bluecar, ce sont des bus baptisés Bluebus qui vont arpenter les avenues des grandes villes.