Rien ne distingue la nouvelle Peugeot électrique de ses sœurs thermiques. Un choix de la marque qui entend faire de son nouveau modèle une Peugeot comme les autres. Une manière de reconsidérer le marché de la voiture électrique.
Michel Holtz
Lui écrireIl se termine ce lundi soir, mais après le fiasco de Francfort, le salon de l’auto de Lyon a déjà gagné le pari de la notoriété, en attendant de savoir s’il a remporté celui de la fréquentation.
Ils sont alarmistes et, entre la réduction des émissions à marche forcée imposée par l'Europe et la transition vers l'électrique, les constructeurs prévoient 10 années difficiles, voire impossibles pour certains. Leur porte-parole européen, Carlos Tavarès, évoque même une période "darwinienne" ou seuls les plus forts résisteront au cataclysme. Réalisme ou politique de la peur pour obtenir des aides gouvernementales ? Les deux mon général.
Les constructeurs se sont toujours évertués à fuir le terme de break, trop campagnard et trop utilitaire. Après les Nevada, Estate, Combi et SW, l’heure du shooting brake a sonné. Une révolution stylistique ? Un simple changement de dénomination.
C’est dans une zone industrielle perdue, à la sortie d’un village de la province de Crémone que se cache l’un des plus prestigieux garages dédiés à la marque de Maranello. Découverte d’un hangar presque anonyme, agréé « Ferrari classic », et qui cache des trésors inestimables.
Elle n’était pas destinée à ça. Et pourtant, au bout de 3 000 et quelques km d’autoroute, de circulation urbaine, de campagne, et même de montagne, le constat s’impose : la Fiat 500C est capable de tout. Évidemment, elle ne parade pas en tête dans toutes les situations, mais sa bonne volonté et la patience de son conducteur viennent à bout de toutes les situations. Démonstration.
Depuis quelques jours, les voitures électriques doivent faire du bruit en deçà du seuil des 20 km/h. Une mesure destinée à avertir les piétons, mais qui sonne le glas du silence espéré par les habitants des villes. D’autant que les émissions sonores ne sont pas normées et que l’imagination pourrait bien sortir des haut-parleurs cachés sous les capots des nouvelles autos.
Quand l’un des patrons de BMW et les analystes économiques raillent le manque de succès de la voiture électrique aujourd’hui, ils tombent dans le même piège que leurs prédécesseurs qui conspuaient la voiture thermique il y a plus de 100 ans.
Plus que quinze petits jours pour s’offrir un pick-up exempté de malus. Une décision qui en termine enfin avec le flou juridique dans lequel les 4x4 à benne ont fait leur lit. Mais une décision plutôt juste, du moins en ce qui concerne les particuliers qui ont acheté, bon an mal an, la moitié des 20 000 exemplaires vendus chaque année en France. Les professionnels quant à eux ne perdent pas grand-chose au change.
En négociant en secret une fusion possible avec FCA (Fiat-Chrysler Automobiles), le nouveau P.-D.G. de Renault a changé son image. Le patron social réputé, et qui a transformé la maison Michelin en une entreprise où il fait (enfin) bon travailler, s’est révélé rusé et stratège.