Les Français balancent volontiers entre chauvinisme et dénigrement. À ceux qui pensent que l’école française du style automobile n’a jamais d’envergure internationale, il est bon d’évoquer des personnalités comme celle de Paul Bracq.
Serge Bellu
Lui écrireC’est insupportable ! La révélation de beaucoup de nouveautés entraîne un triste constat : les designers ne peuvent plus s’empêcher de « faire » du Lexus au rabais. Inquiétant…
Syd Mead est mort il y a bientôt un an, en décembre 2019, dans l’indifférence générale. Il n’était pas connu du grand public et pourtant, nous avons tous été un jour ou l’autre transportés dans son monde imaginaire.
Nous poursuivons notre panorama des grandes figures de l’histoire du design avec un personnage français. Henri Chapron a sans doute été l'un des derniers carrossiers français qui appartenaient à l’école classique.
Tandis que la « Norseman » était envoyée par le fond, le responsable de ce concept-car était en train de vivre le commencement de la fin de son expérience chez Chrysler. Portrait de ce designer élégant.
Dans notre saga des grands designers qui ont marqué l’histoire du style automobile, pas question de faire l’impasse sur l’une des personnalités les plus admirées et les plus introverties : Flaminio Bertoni, le créateur de la Traction, de la 2CV, de la DS 19 et de l’Ami 6.
Déjà vingt ans que Paul Bouvot est parti rejoindre Ettore Bugatti et Enzo Ferrari. Pour les oublieux, rappelons que Paul Bouvot fut un artiste tourmenté ainsi que le responsable du style de Peugeot pendant vingt ans. Et surtout une personnalité riche et attachante.
Avant que l’industrie automobile ne plonge dans le chaos en mars dernier, la dernière grande catastrophe économique avait été enregistrée en 2008 à la suite de la crise dite des « subprimes ».
Nous vous avons déjà présenté Ineos Automotive, nouveau venu dans le monde de l’automobile ; voici les premières images officielles du Grenadier, le véhicule qui est censé remettre la planète sur la voie de la raison.
Si le design est né en Amérique du Nord dans les années 1930, c’est à un Français que l’on doit son importation en Europe. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Philippe Charbonneaux a donné au métier de styliste une nouvelle dimension.