Ce matin, c'est Renault qui retient toute l'attention de la presse automobile, avec des annonces nombreuses et prometteuses. Mais le reste de la planète auto tourne toujours, et la fusion PSA/FCA est toujours en cours. Et l'on apprend que contrairement aux ambitions initiales, Stellantis, le nouveau groupe issu de la fusion, ne sera pas 4e groupe automobile mondial, sauf miracle.
Qui a gagné ? Qui, de PSA ou de FCA, sera réellement le patron de la nouvelle entité Stellantis qui naîtra le 4 janvier prochain. Les spécialistes s'étripent à coups d'alinéas et d'annexes du rapport de fusion de plus de 700 pages remis à l'Union Européenne pour entériner le mariage des deux constructeurs. Car le sort de quelques marques dépend évidemment de celui qui décidera de leur avenir. Et ce n'est pas forcément celui que les termes comptables désignent.
Sous son look 100 % yankee inspiré des hot-rods des années 30, le Chrysler Crossfire cache une plate-forme et une mécanique de Mercedes SLK. Le meilleur des deux mondes à prix d’ami.
C'était l'effervescence hier aux États-Unis, où les derniers électeurs se rendaient aux urnes pour élire leur nouveau président. L'occasion d'évoquer que chez nous, sur le marché de la seconde main, on retrouve de nombreuses voitures américaines. Quelles sont les plus présentes et y a-t-il des difficultés spécifiques à leur achat ? Caradisiac vous dit tout.
Après une période de vaches maigres et malgré un contexte actuel peu réjouissant, le groupe FCA fait preuve d'une belle santé dans cette seconde moitié de 2020, avec la sortie de nombreux modèles électrifiés et un retour aux bénéfices au troisième trimestre.
En se penchant la crise qui nous agite ces temps-ci, un économiste s’en est allé ressusciter un match de boxe de légende : celui qui a opposé Mohamed Ali et Georges Foreman à Kinshasa en 1974. Selon sa théorie, l’entreprise qui s’en tirera sera la plus agile et la plus apte à encaisser des coups, comme Ali à l’époque. Quel constructeur correspond au profil du fameux boxeur ?
Le salon américain devait se dérouler cette semaine. Covid oblige, la manifestation est annulée. Alors le confiné se souvient des anciennes éditions, celles de la gloire de Detroit, et celles de son déclin.
Nombreuses sont les sociétés et notamment dans le monde automobile qui traversent de fortes turbulences suite à la pandémie de Coronavirus. Dernier exemple en date avec le géant italo-américain Fiat Chrysler qui vient de demander un crédit de 6,3 milliards d'euros garanti auprès de l'État italien
Quels enseignements la société tirera-t-elle de la crise sanitaire ? Reprendra-t-elle le fil de l’histoire comme avant ou profitera-t-elle de cette alerte pour repartir sur de nouvelles bases ? Les hommes seront-ils plus réactifs après cette alerte qu’ils ne le sont face à la catastrophe écologique toujours latente, autrement plus sourde, plus lourde de conséquences, plus irréversible. Personne ne peut présumer de l’inépuisable aptitude de l’humanité à se reconstruire comme à s’autodétruire. On peut en revanche observer ce qui s’est passé les « jours d’après » les précédentes fractures de l’industrie automobile. Pour démarrer en fanfare, nous revenons sur la crise de 1929.
La famille Peugeot, qui détient aujourd'hui 12,23 % du capital de PSA, ne possédera donc mécaniquement plus que 6,12 % du groupe PSA/FCA après la fusion des deux entités, décidée mi-décembre. Mais, confiante dans le succès de cette opération, elle souhaite dès que possible acquérir 2,5 % de plus du nouveau groupe.
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