Les deux grands groupes français viennent de présenter leurs résultats financiers pour le 3e trimestre 2017. Ils sont bons. Coté ventes, Renault s'en sort mieux que PSA, qui limite la casse avec l'intégration d'Opel.
Un embouteillage, tout automobiliste y a goûté un jour ou l’autre. Pour les citadins, la perte de temps dans les bouchons des villes surpeuplées peut se compter en dizaines d’heures dans une année. Avec un nombre de véhicules qui ne cesse de grimper, une géographie routière qui n’est pas forcément extensible, les bouchons risquent de perdurer. Et pourtant des solutions existent ou existeront pour les réduire.
Dévoilé début mars à Genève, le DS7 Crossback arrivera dans les concessions en janvier 2018. DS vient d'ouvrir les carnets de commandes. Au programme : quatre moteurs, cinq finitions et un prix d'accès de 31 200 €. L'hybride sera lancé en 2019.
La marque DS peine pour le moment à exister par les ventes, la faute à un catalogue vieillissant, mais le futur est en marche avec l'arrivée prochaine du DS 7 Crossback. En attendant, DS nous rappelle qu'il y avait il n'y a pas si longtemps un concept très séduisant, l'E-Tense, qui roule : la preuve.
PSA a annoncé que de nouveaux véhicules seront fabriqués à Sochaux et Mulhouse à l'horizon 2020/2021. Une bonne nouvelle qui devrait rassurer les salariés.
Depuis 18 mois, PSA mesure les consommations de ses véhicules en conditions réelles, selon un protocole scientifique élaboré en interne. Ce protocole a aujourd'hui été primé par le jury Autobest, et reçoit la récompense Ecobest 2017. Faut-il s'en réjouir ?
Le groupe français vient de lancer son service d'autopartage Free2Move à Seattle. C'est la première étape de son retour au pays de l'Oncle Sam. La vente de voitures reste un objectif à long terme.
A défaut de renouvellement, la DS 3 poursuit sa route avec des séries spéciales. Après "Ines de la Fressange" et "Dark Side", voilà désormais Black Lezard. Comme son nom l'indique partiellement, il s'agit surtout d'un pavillon doté d'un revêtement spécial faisant penser à une peau de reptile. Les tarifs débutent à 25 200 €.
Le patron de PSA n’est pas fan des voitures électriques et, au salon de Francfort qui a fermé ses portes hier soir, il a exprimé ses doutes à demi-mots. Mais pour autant, et pour satisfaire son actionnaire chinois Dongfeng, il s’engage dans cette transition. Tout en douceur.
À partir d'aujourd'hui et jusqu'au 30 septembre, PSA expérimente dans ses concessions de Paris et d'Ile de France un service de voiturier pour l'entretien de votre auto. On vient la chercher et on vous la ramène où vous voulez. Un test qui pourrait devenir un vrai nouveau service s’il rencontre le succès.
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