Après quatre années de carrière durant lesquelles elle s’est écoulée à 115 000 exemplaires, la DS4 passe par la case restylage.
Ce n’est pas une, mais deux DS4 qui seront à découvrir au salon de Francfort. A l’occasion de son restylage de mi-carrière, l’auto dédouble son offre avec une inédite version Crossback en complément de la plus classique berline.
Arrivée à mi-carrière, la DS4 se dédouble. A la berline s'ajoute une déclinaison Crossback surévée, qui surfe sur la vague du SUV. Un changement important, qui s'accompagne de l'introduction de nouvelles motorisations et d'équipements high-tech.
Après s'être séparé de Citroën, DS continue son chemin avec l'annonce de la création officielle d'une division sport auto avec « DS Performance ». Pour l'heure, cette dernière va avant-tout de paire avec le lancement de DS dans la Formule E avec Virgin.
PSA avait dévoilé il y a deux ans un nouveau moteur diesel d'une cylindrée de 1.5 litre. Ce bloc, qui sera produit à Tréméry et Douvrin, aura des puissances allant de 75 à 130 ch et répondra à la norme Euro 6.2. Les premières unités arriveront en 2017 et équiperont les autos de DS, Citroën et Peugeot.
Après la très flashy « dark rose » l'an dernier, DS relance une série spéciale sur la DS 3 baptisée « dark light ». Comme d'habitude, les tarifs sont relativement salés pour la citadine branchée qui propose tout de même ici de nombreux équipements de série.
Le prototype quatre portes du constructeur premium français a fait salon dans le Hyde Park de Londres. Les promeneurs pouvaient découvrir la DS Divine Concept de près au milieu des arbres. Cette dernière prévisualise l'orientation esthétique des six modèles à venir pour la firme d'ici 2020.
Depuis sa séparation avec Citroën, DS s'oriente de plus en plus vers un contenu haut de gamme et premium, ou en tout cas, tente de le faire. L'entité récemment créée lancera d'ailleurs en 2018 une berline, porte drapeau de la marque, dans un premier temps en Chine et ensuite en Europe, selon une information obtenue par Automotive News.
Le premium français a toujours eu du mal à s'imposer, cela ne date pas d'hier. La Citroën DS5 en était l'exemple parfait, avec des ventes plutôt faibles en comparaison des volumes du segment. La française ne manque pourtant pas d'atouts mais l'essoufflement des ventes est bien perceptible. Le changement d'identité, de calandre et l'arrivée de nouveaux moteurs peuvent-ils changer la donne ? Pas si sûr.
Aujourd'hui, DS est une marque à part, et la stratégie d'expansion à l'international pour cette nouvelle branche de l'arbre PSA est définie clairement avec des produits exclusivement premium et une image de marque à faire progresser. Une DS 8, berline routière haut de gamme, ferait-elle partie de ce plan ?
Toute l'actu par marque/modèle