Par roc et gravillon
" la malheureuse X-Type qui a tant fait de mal à l'image du félin ".
C'est tout de même un brin discutable comme sentence.
Cette auto aura permis à Jaguar de passer du statut de producteur artisanal à celui de généraliste, à faible volume certes, mais généraliste tout de même.
De profiter aussi de certaines synergies avec le propriétaire de l'époque, Ford.
C'est ce modèle qui, chez ce constructeur, proposa la première transmission 4 rm, le premier break et la première implantation diesel.
Ces deux derniers vocables ne sont guerre appréciés par certains, mais que seraient les ventes de véhicules du segment ( série 3, classe C, S60...) sans ces propositions ?
Maintenant, que le produit n'ait pas été au niveau des attendus, ok, mais sans ce modèle, Jaguar n'aurait peut être tout simplement pas franchi le tournant du XXI ème siècle.