Par Anonyme
"Le Conseil d'Etat a jugé en référé que le décret du 4 janvier 2012 interdisant les avertisseurs de radars n'était en rien une entrave à la liberté d'expression du citoyen, à son droit à l'échange et à la propriété"
Non....le conseil d'Etat devait juger l'URGENCE de la demande. Ce qui n'est pas pareil. Considérant que l'annonce avait été faite en mai 2011, cela laissait suffisamment de temps à la société soit pour s'adapter, soit pour attaquer.
Donc l'urgence n'étant pas caractérisée, le référé est rejeté.
Reste le jugement sur le fond qui se fera dans l'année normalement et où là on jugera du bien-fondé de la plainte.