Par Anonyme
Le problème c'est la licence ! Pourquoi déja avoir obligé les taxi à avoir une licence si chère ? C'est du n'importe quoi !!!!!
Les taxis sont foutus, les VTC sont dans la rue...
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Par Anonyme
Le problème c'est la licence ! Pourquoi déja avoir obligé les taxi à avoir une licence si chère ? C'est du n'importe quoi !!!!!
Par §zem778mO
ils veulent revendre leurs plaques ....... mais qui leur a demandé d'acheter ces plaques ......a un tel prix !
ils vont les revendre a qui ?
c'est nimp
Par Anonyme
Les medecins généralistes ont eu le même problème il y a une 10 ene années. Ils se sont lourdement endetté pour acheter un clientèle et et aujourd'hui elle ne vaut plus rien...
Je ne comprend pas pourquoi les taxis ne s'organisent pas mieux, j'ai installé l'application G7 pour réserver un taxi, elle marche très bien, sauf qu'a la 2 eme reservation on me demande de payer 2€ par réservation ... ben je suis passé sur l'application VTC..
Par Anonyme
Ils sont cuits !
Les plus malins doivent vendre leurs licences maintenant...ou jamais !
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Ils sont cuits !
Les plus malins doivent vendre leurs licences maintenant...ou jamais !
Et quel est le couillon qui va acheter ?
Par MasterLudo
Le coup des plaques, les gars se sont fait la bulle eux même, elles sont gratuites à la base donc ils se sont crées leur propre malheur
Les VTC ça date pas d'hier et la lame de fond si les pros du secteurs ne l'ont pas vue il y a des mois (comme dans plein d'autres villes dans le monde avant Paris), alors on peut à nouveau ajouter que c'est leur propre malheur
Quand à la notion de fond de commerce, il semblerait que de nos jours la plupart des commerces (hors ceux en numerus clausus) ont abandonné cette notion depuis bien longtemps alors qu'eux même ont du acheter le leur
On revend les murs maintenant, quasi plus le fond de commerce
Ainsi va la précarisation, d'ailleurs les VTC sont auto-entrepreneurs d'après l'article !
Par Anonyme
mon pote "taximan" a Lyon m'explique que c'est facile comme bonjour de faire du black a outrance ,lui se fait en moyenne 1000/1500 euros SEMAINE ,ce qui
représente une jolie complémentaire ,il va revendre son bahut plus la licence
cette semaine pour 47.000 euros et a 64 ans repos définitif ,maison payée,voiture neuve payée pas de crédit en cours lui même déclare je cite
"c'est le grand panard"
Par Anonyme
La licence est GRATUITE !
L'Etat ne se fait pas d'argent sur le dos des taxis, mais ce sont les TAXIS eux-mêmes qui se font de l'argent sur le dos des suivants !!!
Ce sont EUX et EUX seuls qui ont fait que les prix deviennent n'importe quoi pour une licence ! Ce sont EUX les responsables de leur mouise et non les VTC ou l'Etat.
Alors oui l'Etat pourrait TRES SIMPLEMENT racheter les licences.
Comment ? 4 milliards d'euros (étalés sur plusieurs années qui plus est) c'est à peine 10 centimes sur le litre de diesel en plus pendant 1 année. Si on amortit sur 5 ans ce rachat, alors on fait +2 centimes à la pompe diesel de TICPE et zou on peut payer.
Donc ce n'est qu'un faux problème le rachat.
Mais....pourquoi est-ce que ce serait à l'ETAT de racheter à prix d'or les plaques que LES TAXIS eux-mêmes ont mis à des prix exorbitants ?
Sinon penser que l'auto-entrepreneur c'est la panacée universelle c'est mal connaître ce statut.
Certes ce n'est pas "soumis à TVA" mais cela signifie simplement que leur prix est TTC tout le temps...pas de récupération de TVA.
Le CA est capé (et très vite capé) et on ne peut dégréver de ce CA les frais (voiture, costume, essence, etc.) donc très vite on voit qu'en auto-entrepreneur on ne gagne pas grand chose en VTC. Sur Paris c'est même une misère (un miroir aux alouettes) et il faut vite passer en micro-entreprise avec tout le "mauvais" coté de la chose.
En plus les VTC sont quasi obligés de s'affilier à une boîte qui leur ponctionne un beau % du CA...
Les taxis se sont eux-mêmes condamnés en restant figés sur leurs positions.
Vous savez ce qui est le pire ???
Les dernières plaques vendues en France le sont par des taxis qui se lancent dans le VTC !! HAHAHAHHA
Par §djo575Pk
Il faudrait que les VTC payent une licence ou que celle des taxi soit remboursée. Ce n'est pas très fair-play si tout le monde n'a pas les mêmes règles.
Par Anonyme
Qui oblige un futur nouveau taxi à acheter une licence 200000 euros ou plus, personne, il n'a qu'a se mettre VTC .... Ils se font leur mal eux memes.
Par Anonyme
On dirait le problème des banques.
Ils se foutent eux-même dans la merde avec leurs licences gratuites qu'ils se revendent des centaines de milliers d'Euros et au final ce serait donc à l'état, aux contribuables, de payer leur merde ?
Excusez-moi du terme, mais qu'ils aillent bien se faire enculer. Depuis que j'ai découvert UBER, je n'ai plus jamais foutu les pieds dans un tacos.
Par roc et gravillon
A peu d'exception près, on voit que les posteurs ont pris le temps de lire l'article du p'tit nouveau ( c'était pas gagné ).
Les données du problème semblent bien posées.
Ces deux professions faisant globalement le même métier, pourquoi s'obstiner à les différencier ?
Mes propositions :
- Rachat par l'état des licences au prix initialement payé lors du départ à la retraite ou changement de job.
- Taxations (TVA et imposition fiscale) au taux de celui acquitté par un artisan taxi( ce qui permettrait en quelques années de rembourser le premier point)
Puis :
- Fixation par un échelon de décision local du nombre d'artisans nécessaires
sur un territoire donné
- Actualisation de ce nombre tous les 5 ans en fonction de l'évolution démographique locale
- Fixation d'un montant de patente et perception par l'échelon local de cette taxe ( disons autour 50 000 € )
- Obligation de disposer de véhicule d'un certain standing ( inadmissible de trouver des Sandero taxi )
- Tva abaissée pour les taxis électriques ou hybrides rechargeables disposant de minimum 50 km d'autonomie en mode électrique.
- Obligation de disposer des moyens de réservation et facturation les plus modernes
Et bien entendu, possibilité pour tous ces véhicules d'utiliser les couloirs de bus.
La vie est si simple à Rocetgravillonland....
Par maxjezz
En réponse à roc et gravillon
A peu d'exception près, on voit que les posteurs ont pris le temps de lire l'article du p'tit nouveau ( c'était pas gagné ).
Les données du problème semblent bien posées.
Ces deux professions faisant globalement le même métier, pourquoi s'obstiner à les différencier ?
Mes propositions :
- Rachat par l'état des licences au prix initialement payé lors du départ à la retraite ou changement de job.
- Taxations (TVA et imposition fiscale) au taux de celui acquitté par un artisan taxi( ce qui permettrait en quelques années de rembourser le premier point)
Puis :
- Fixation par un échelon de décision local du nombre d'artisans nécessaires
sur un territoire donné
- Actualisation de ce nombre tous les 5 ans en fonction de l'évolution démographique locale
- Fixation d'un montant de patente et perception par l'échelon local de cette taxe ( disons autour 50 000 € )
- Obligation de disposer de véhicule d'un certain standing ( inadmissible de trouver des Sandero taxi )
- Tva abaissée pour les taxis électriques ou hybrides rechargeables disposant de minimum 50 km d'autonomie en mode électrique.
- Obligation de disposer des moyens de réservation et facturation les plus modernes
Et bien entendu, possibilité pour tous ces véhicules d'utiliser les couloirs de bus.
La vie est si simple à Rocetgravillonland....
Ça va en faire des Zozo à rocetgravillonland...tu vas aimer!
Par Anonyme
L'Etat, donc nous (les contribuables), n'avons pas à racheter aux taxis des licences qui sont à la base gratuites...
Par Anonyme
Ci-joint article de MEDIAPART à lire absolument :
Après la grève, pendant la médiation, les chauffeurs de taxi parisiens à l'initiative de l'intersyndicale se donnent rendez-vous à la Bourse du Travail Lundi 24 Février à 14 heures pour débattre et faire des propositions au médiateur Thevenoud.
Cette initiative louable par son côté participatif, ne concerne pas que les chauffeurs de taxi parisiens. En vérité elle concerne la société toute entière, et plus encore, la question du transport public à titre onéreux bien au delà des frontières de l'Hexagone.
Peut-être l'ignoriez vous, mais les conflits récents observés à Paris à l'initiative des chauffeurs de taxis sont monnaie courante depuis quelques temps un peu partout dans le Monde.
Ce qui est donc en jeu actuellement sur la surface du globe, c'est la façon dont on consommera le transport public demain à la faveur du progrès technologique, de la révolutoin numérique mobile avec l'émergence massive dans nos poches des smartphones.
Petit retour en arrière :
En Décembre 2008 Garett Camp qui souhaitait se rendre à la conférence organisée par Loïc LE MEUR "Le web" cherche un taxi à Paris... Il n'en trouve pas (vous trouverez quelques explications ici sur la pénurie de taxis à Paris) , et décide de créer Uber.
A son retour à San Francisco en 2009, il convainc Travis Kalanick de le rejoindre et de lever des fonds pour financer son idée après avoir développé un premier "pilote" sur Iphone :
- Localiser des véhicules sur une carte, les solliciter via texto pour se faire transporter d'un point A à un point B.
Quelques années plus tard, l'entreprise est devenue une multinationale avec un système technologique hyper performant fonctionnant en GPRS et par internet, des chauffeurs par milliers ont été affiliés dans soixante sept villes du monde entier, des centaines de milliers de clients ont téléchargé l'application. Google Ventures a investi massivement 258 millions de dollars après une première levée de fonds déjà remarquable de 32 millions de dollars...
En quatre années à peine, Uber s'est doté d'une rampe de lancement qui lui confère une capacité à devenir aussi gros que des géants tels Facebook, Amazon, Google et Apple... les "big four" ou autres "FAGA"...
Ca, c'est l'aspect clinquant d'une success story à l'américaine, celui que beaucoup se complaisent à reprendre sans chercher à en comprendre les dessous. On oublie la réalité du terrain.
la dictature numérique
Car ce succès fulgurant s'est construit au mépris des lois et réglementations existantes dans tous les pays où Uber s'est implanté, sans même chercher à en questionner le caractère bien fondé, n'envisageant même pas de questionner la nécessité de leur réforme à l'ère du smartphone, encore moins l'héritage de l'histoire du transport public de chacun des pays.
A la légitimité des textes issus des parlementaires représentant les citoyens Uber oppose la seule "satisfaction" prétendue des clients. Et lorsqu'ils ne sont pas satisfaits, surpris notamment de payer une note salée du fait de l'application d'un système de "yield management " les soirs où les véhicules sont surbookés, Uber minimise les échos négatifs à grands coups d'articles élogieux rédigés par des bloggers sponsorisés, eux mêmes "achetés" par l'entreprise pour répandre la bonne parole sur la toile...
C'est une forme de dictature à laquelle nous assistons.
Une dictature numérique dont la puissance de frappe par sa capacité à se répandre à la vitesse de l'éclair par viralité sur internet et dans nos smartphones supplante le concept même de citoyenneté. En une seconde une fois l'application téléchargée, héler un taxi dans la rue serait devenu ringard... Réfléchir aussi.
Un débat de société
Au contraire justement, je vous propose justement ici de réfléchir à cinq questions qui me paraissent fondamentales au delà même du transport :
1/ Sur la sécurité publique
Le transport public à titre onéreux par taxi est placé sous la tutelle du Ministère de l'Intérieur. En montant dans un véhicule pour être transporté, vous confiez votre vie et vos biens à un chauffeur inconnu. Peut-on confier à une société privée l'organisation du contrôle de la probité des chauffeurs ? Quelle est la responsabilité civile et pénale d'une plateforme technologique qui met en relation des clients et des chauffeurs ? Comment la définir efficacement, l'encadrer ?
2/ Sur la sous-traitance des chauffeurs
Les plateformes technologiques mettant en relation des clients avec des chauffeurs ont massivement recours à des auto-entrepreneurs. Ce recours massif crée de fait une distorsion de concurrence avec notamment les chauffeurs de taxi taxés à 47% sur leur bénéfice, et les chauffeurs salariés d'entreprise de l'ex grande remise, voire les chauffeurs de VTC ayant créé leur entreprise. Comment harmoniser la concurrence ?
Contrôle-t-on le changement de régime fiscal des auto-entrepreneurs en cours d'activité ?
N'y-a-t-il pas un risque de "turn over" massif des chauffeurs et d'exploitation de leur statut ? Comment éviter les dérives du covoiturage participatif aux frais de transport, tolléré par les pouvoirs publics et le fisc ?
D'autre part, ces plateformes s'exonèrent trop souvent de leurs responsabilités et n'ont cure des conditions dans lesquelles sont exploités les services de transport sur le terrain :
Racolages sauvages aux aéroports et aux gares de leurs affiliés non contrôlés, stationnement illégal sur la voie publique en station de taxi, mais aussi en attente de clientèle... Si un chauffeur VTC a un smartphone pour prendre des courses, il peut aussi le couper pour racoler à Roissy ou à Orly !
Qui contrôle ? Qui sanctionne ?
Sans parler de la politique tarifaire, qui est libre du côté des VTC, mais n'est pour autant même pas respectée : le prix forfaitaire pour aller d'un point A à un point B n'est pas toujours annoncé au client au moment de la commande (décret du 30 juillet 2013). De l'autre côté, les taxis appliquent des tarifs fixés par Bercy.
3/ Sur la responsabilité civile et pénale de la plateforme technologique
Les plateformes technologiques créent leurs propres conditions générales d'utilisation et conditions générales de vente. Elles ne sauraient pour autant s'exonérer de leurs responsabilités civiles et pénales dès lors qu'elles mettent en relation des clients facturés et des chauffeurs affiliés à leur service.
Rappelons ici deux cas illustrant ces questions :
- Celui de la fillette de six ans renversée et mortellement blessée par un chauffeur Uber à San Francisco.
- Celui d'un chauffeur Uber inscrit à Chicago, pourtant connu des services de Police, condamné pour "vol avec effraction".
4/ Sur l'optimisation fiscale
Je l'avais dénoncé dès le 14 Février dernier sur Europe 1 . C'est à présent de notoriété publique. Uber a organisé un système d'optimisation fiscale lui permettant de ne pas payer d'impôts en France, ou quasiment pas. Dans le même temps rappelons que la plupart des chauffeurs affiliés sont auto-entrepreneurs et ne collectent pas la TVA dont ils sont éxonérés (article 293 B du code général des impôts).
A l'avenir, d'autres plateformes technologiques pourraient s'installer au Luxembourg ou ailleurs dans d'autres paradis fiscaux, et opérer leurs services de la même manière... Non sans cynisme et esprit anti-civique, on pourrait presque conseiller aux chauffeurs de taxi de se cotiser à plusieurs pour se payer les services de conseillers fiscaux, afin de domicilier leur activité dans un paradis fiscal pour rétablir les conditions d'une concurrence moins déloyale sur ce plan...
En toile de fond, c'est le débat plus général sur la fiscalité française que l'on voit ainsi surgir ici, où l'on observe une stratégie d'échappement à l'impôt systématique des sociétés technologiques pouvant opérer n'importe où sur la surface du globe... L'internet 2.0 contre l'Etat...
5/ Sur la confidentialité des données stockées par ces plateformes
Lorsqu'on monte dans un véhicule que l'on a "hèlé électroniquement" avec son smartphone, on laisse une trace sur un serveur...
Les données sont stockées, pour facturation.
Outre le fait que l'on connaisse votre numéro de carte bancaire et votre numéro de téléphone mobile, on sait également où vous vous déplacez et quand... Si vous le faites régulièrement... ou pas.
Bientôt vous serez peut-être sollicité par une publicité vous proposant d'apporter des croissants à votre maîtresse au petit matin, que vous rouliez en scooter caché sous votre casque ou que vous préfériez voyager discrètement à l'abri des fenêtres teintées d'un VTC sensé protéger votre intimité...
Pour le coup, là aussi... ce sera raté !
Par clefdedouze
Pour le problème des licences effectivement, il faut savoir qu'un taxi arrive à la rembourser le jour où ils la vendent.
Mais c'est un certains juste retour des choses, dans le sens où ils refusent qu'il y ait plus de licence de taxi alors qu'il en manque cruellement (d'où les 400000€ la licence en Alpes Maritime). De plus, dans un pays anti-véhicule de luxe, voir les taxis rouler pour une bonne partie d'entre eux avec la dernière Mercedes ou la dernière BMW à 60000€ le bout minimum ça n'aide pas.
Mais pire que les taxi, il y a les taxis réservé d'aéroport.
Remboursé les licences, une mesure à 4 milliards. Oui mais dans l'état actuel, ne serait ce pas un investissement pour un meilleur service aux citoyens?
Par Anonyme
En réponse à clefdedouze
Pour le problème des licences effectivement, il faut savoir qu'un taxi arrive à la rembourser le jour où ils la vendent.
Mais c'est un certains juste retour des choses, dans le sens où ils refusent qu'il y ait plus de licence de taxi alors qu'il en manque cruellement (d'où les 400000€ la licence en Alpes Maritime). De plus, dans un pays anti-véhicule de luxe, voir les taxis rouler pour une bonne partie d'entre eux avec la dernière Mercedes ou la dernière BMW à 60000€ le bout minimum ça n'aide pas.
Mais pire que les taxi, il y a les taxis réservé d'aéroport.
Remboursé les licences, une mesure à 4 milliards. Oui mais dans l'état actuel, ne serait ce pas un investissement pour un meilleur service aux citoyens?
Combien de français prennent le taxi ?????
Par Anonyme
remboursez moi mon crédit immobilier, dans l'état actuel ce sera un investissement pour un meilleur service aux citoyens !
Par Anonyme
C'est toujours la même histoire:
1) Je crée une bulle spéculative pour m'enrichir;
2) Ma jolie bulle finit par éclater;
3) Je viens pleurnicher.
Ça n'a pas changé depuis les bulbes de tulipe, en passant par les subprimes ou la jolie pyramide de Madoff, qui en fait n'était pas de Madoff, mais de Ponzi .
Aujourd'hui c'est la bubulle des taxis qui menace rupture... Le seul hic c'est que si les tacots disparaissent, je suis sûr que le prix des VTC sera subitement pris d'inflationnite .
Par clefdedouze
La question est plutot combien peuvent se le permettre au tarif actuel. Quand on compare au USA ou le prix est bien plus bas, ce mode de transport est beaucoup plus utilisé. ET il serait à mon avis de même si le prix redevenait convenable.
Par Anonyme
je vous demande de vous arretez..... Lumiere divine ROC nous a donné la solution.... seul lui a raison, gloire à ROC
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Ci-joint article de MEDIAPART à lire absolument :
Après la grève, pendant la médiation, les chauffeurs de taxi parisiens à l'initiative de l'intersyndicale se donnent rendez-vous à la Bourse du Travail Lundi 24 Février à 14 heures pour débattre et faire des propositions au médiateur Thevenoud.
Cette initiative louable par son côté participatif, ne concerne pas que les chauffeurs de taxi parisiens. En vérité elle concerne la société toute entière, et plus encore, la question du transport public à titre onéreux bien au delà des frontières de l'Hexagone.
Peut-être l'ignoriez vous, mais les conflits récents observés à Paris à l'initiative des chauffeurs de taxis sont monnaie courante depuis quelques temps un peu partout dans le Monde.
Ce qui est donc en jeu actuellement sur la surface du globe, c'est la façon dont on consommera le transport public demain à la faveur du progrès technologique, de la révolutoin numérique mobile avec l'émergence massive dans nos poches des smartphones.
Petit retour en arrière :
En Décembre 2008 Garett Camp qui souhaitait se rendre à la conférence organisée par Loïc LE MEUR "Le web" cherche un taxi à Paris... Il n'en trouve pas (vous trouverez quelques explications ici sur la pénurie de taxis à Paris) , et décide de créer Uber.
A son retour à San Francisco en 2009, il convainc Travis Kalanick de le rejoindre et de lever des fonds pour financer son idée après avoir développé un premier "pilote" sur Iphone :
- Localiser des véhicules sur une carte, les solliciter via texto pour se faire transporter d'un point A à un point B.
Quelques années plus tard, l'entreprise est devenue une multinationale avec un système technologique hyper performant fonctionnant en GPRS et par internet, des chauffeurs par milliers ont été affiliés dans soixante sept villes du monde entier, des centaines de milliers de clients ont téléchargé l'application. Google Ventures a investi massivement 258 millions de dollars après une première levée de fonds déjà remarquable de 32 millions de dollars...
En quatre années à peine, Uber s'est doté d'une rampe de lancement qui lui confère une capacité à devenir aussi gros que des géants tels Facebook, Amazon, Google et Apple... les "big four" ou autres "FAGA"...
Ca, c'est l'aspect clinquant d'une success story à l'américaine, celui que beaucoup se complaisent à reprendre sans chercher à en comprendre les dessous. On oublie la réalité du terrain.
la dictature numérique
Car ce succès fulgurant s'est construit au mépris des lois et réglementations existantes dans tous les pays où Uber s'est implanté, sans même chercher à en questionner le caractère bien fondé, n'envisageant même pas de questionner la nécessité de leur réforme à l'ère du smartphone, encore moins l'héritage de l'histoire du transport public de chacun des pays.
A la légitimité des textes issus des parlementaires représentant les citoyens Uber oppose la seule "satisfaction" prétendue des clients. Et lorsqu'ils ne sont pas satisfaits, surpris notamment de payer une note salée du fait de l'application d'un système de "yield management " les soirs où les véhicules sont surbookés, Uber minimise les échos négatifs à grands coups d'articles élogieux rédigés par des bloggers sponsorisés, eux mêmes "achetés" par l'entreprise pour répandre la bonne parole sur la toile...
C'est une forme de dictature à laquelle nous assistons.
Une dictature numérique dont la puissance de frappe par sa capacité à se répandre à la vitesse de l'éclair par viralité sur internet et dans nos smartphones supplante le concept même de citoyenneté. En une seconde une fois l'application téléchargée, héler un taxi dans la rue serait devenu ringard... Réfléchir aussi.
Un débat de société
Au contraire justement, je vous propose justement ici de réfléchir à cinq questions qui me paraissent fondamentales au delà même du transport :
1/ Sur la sécurité publique
Le transport public à titre onéreux par taxi est placé sous la tutelle du Ministère de l'Intérieur. En montant dans un véhicule pour être transporté, vous confiez votre vie et vos biens à un chauffeur inconnu. Peut-on confier à une société privée l'organisation du contrôle de la probité des chauffeurs ? Quelle est la responsabilité civile et pénale d'une plateforme technologique qui met en relation des clients et des chauffeurs ? Comment la définir efficacement, l'encadrer ?
2/ Sur la sous-traitance des chauffeurs
Les plateformes technologiques mettant en relation des clients avec des chauffeurs ont massivement recours à des auto-entrepreneurs. Ce recours massif crée de fait une distorsion de concurrence avec notamment les chauffeurs de taxi taxés à 47% sur leur bénéfice, et les chauffeurs salariés d'entreprise de l'ex grande remise, voire les chauffeurs de VTC ayant créé leur entreprise. Comment harmoniser la concurrence ?
Contrôle-t-on le changement de régime fiscal des auto-entrepreneurs en cours d'activité ?
N'y-a-t-il pas un risque de "turn over" massif des chauffeurs et d'exploitation de leur statut ? Comment éviter les dérives du covoiturage participatif aux frais de transport, tolléré par les pouvoirs publics et le fisc ?
D'autre part, ces plateformes s'exonèrent trop souvent de leurs responsabilités et n'ont cure des conditions dans lesquelles sont exploités les services de transport sur le terrain :
Racolages sauvages aux aéroports et aux gares de leurs affiliés non contrôlés, stationnement illégal sur la voie publique en station de taxi, mais aussi en attente de clientèle... Si un chauffeur VTC a un smartphone pour prendre des courses, il peut aussi le couper pour racoler à Roissy ou à Orly !
Qui contrôle ? Qui sanctionne ?
Sans parler de la politique tarifaire, qui est libre du côté des VTC, mais n'est pour autant même pas respectée : le prix forfaitaire pour aller d'un point A à un point B n'est pas toujours annoncé au client au moment de la commande (décret du 30 juillet 2013). De l'autre côté, les taxis appliquent des tarifs fixés par Bercy.
3/ Sur la responsabilité civile et pénale de la plateforme technologique
Les plateformes technologiques créent leurs propres conditions générales d'utilisation et conditions générales de vente. Elles ne sauraient pour autant s'exonérer de leurs responsabilités civiles et pénales dès lors qu'elles mettent en relation des clients facturés et des chauffeurs affiliés à leur service.
Rappelons ici deux cas illustrant ces questions :
- Celui de la fillette de six ans renversée et mortellement blessée par un chauffeur Uber à San Francisco.
- Celui d'un chauffeur Uber inscrit à Chicago, pourtant connu des services de Police, condamné pour "vol avec effraction".
4/ Sur l'optimisation fiscale
Je l'avais dénoncé dès le 14 Février dernier sur Europe 1 . C'est à présent de notoriété publique. Uber a organisé un système d'optimisation fiscale lui permettant de ne pas payer d'impôts en France, ou quasiment pas. Dans le même temps rappelons que la plupart des chauffeurs affiliés sont auto-entrepreneurs et ne collectent pas la TVA dont ils sont éxonérés (article 293 B du code général des impôts).
A l'avenir, d'autres plateformes technologiques pourraient s'installer au Luxembourg ou ailleurs dans d'autres paradis fiscaux, et opérer leurs services de la même manière... Non sans cynisme et esprit anti-civique, on pourrait presque conseiller aux chauffeurs de taxi de se cotiser à plusieurs pour se payer les services de conseillers fiscaux, afin de domicilier leur activité dans un paradis fiscal pour rétablir les conditions d'une concurrence moins déloyale sur ce plan...
En toile de fond, c'est le débat plus général sur la fiscalité française que l'on voit ainsi surgir ici, où l'on observe une stratégie d'échappement à l'impôt systématique des sociétés technologiques pouvant opérer n'importe où sur la surface du globe... L'internet 2.0 contre l'Etat...
5/ Sur la confidentialité des données stockées par ces plateformes
Lorsqu'on monte dans un véhicule que l'on a "hèlé électroniquement" avec son smartphone, on laisse une trace sur un serveur...
Les données sont stockées, pour facturation.
Outre le fait que l'on connaisse votre numéro de carte bancaire et votre numéro de téléphone mobile, on sait également où vous vous déplacez et quand... Si vous le faites régulièrement... ou pas.
Bientôt vous serez peut-être sollicité par une publicité vous proposant d'apporter des croissants à votre maîtresse au petit matin, que vous rouliez en scooter caché sous votre casque ou que vous préfériez voyager discrètement à l'abri des fenêtres teintées d'un VTC sensé protéger votre intimité...
Pour le coup, là aussi... ce sera raté !
Seul ROC peut comprendre, passé la 2eme ligne j'ai arrété de lire, je prefere les bandes déssinées....
Par §zem778mO
ah oui les taxis et les VTC doivent passer au V6 essence c'est moins cher qu'un diesel récent mdrrr
Par §mot737Kg
L'image des taxis n'est pas joli jolie;
les chauffeurs sont souvent des gens incultes, fraudeurs, frondeurs avec des voitures plus ou moins propres
et ils te demandent où tu vas avant de te laisser monter... à leur guise...alors avec tous cela, on n'a pas du tout envie de les plaindre.
Et je ne parle pas des chauffeurs énervés après tout le monde (bus, pompiers, taxis, vtc, automobilistes, motards, transport de fonds, ambulances,cyclistes, piétons... et même leurs clients). De plus ils n'ont jamais de monnaie ou ne se dépêche pas pour la rendre ou alors en sortant le sac de pièces jaunes...
On peut encore écrire un roman sur eux... c'est surtout tout cela qui tue la profession et les quelques taxis sérieux et sympas..
La nouvelle génération est composée surtout d'anciens Go Fast qui blanchissent leurs premiers salaires mal acquis... c'est dire le niveau de douceur, de gentillesse et d'honnêteté..
Mais bon à la base c'est des gens pas très intéressants et qui terminent vieux, aigris et encore plus idiots tout en ayant l'impression du contraire (bien sûr)
Par §zem778mO
Et bien évidemment tous les Taxis et VTC doivent être des Dacia Sandero, Stepway ou Duster dans le but de diminuer le prix de trajets
Par Anonyme
En réponse à roc et gravillon
A peu d'exception près, on voit que les posteurs ont pris le temps de lire l'article du p'tit nouveau ( c'était pas gagné ).
Les données du problème semblent bien posées.
Ces deux professions faisant globalement le même métier, pourquoi s'obstiner à les différencier ?
Mes propositions :
- Rachat par l'état des licences au prix initialement payé lors du départ à la retraite ou changement de job.
- Taxations (TVA et imposition fiscale) au taux de celui acquitté par un artisan taxi( ce qui permettrait en quelques années de rembourser le premier point)
Puis :
- Fixation par un échelon de décision local du nombre d'artisans nécessaires
sur un territoire donné
- Actualisation de ce nombre tous les 5 ans en fonction de l'évolution démographique locale
- Fixation d'un montant de patente et perception par l'échelon local de cette taxe ( disons autour 50 000 € )
- Obligation de disposer de véhicule d'un certain standing ( inadmissible de trouver des Sandero taxi )
- Tva abaissée pour les taxis électriques ou hybrides rechargeables disposant de minimum 50 km d'autonomie en mode électrique.
- Obligation de disposer des moyens de réservation et facturation les plus modernes
Et bien entendu, possibilité pour tous ces véhicules d'utiliser les couloirs de bus.
La vie est si simple à Rocetgravillonland....
"La vie est si simple à Rocetgravillonland...."
Pour ne pas dire simpliste, voire même simplette.
Par Anonyme
On les entendaient beaucoup moins les Taxis quand ils ont pris une partie du marché des ambulances !!!!
Et ce sans aucune formation ni compétence médicale si besoin, etc.
Et là on les entends ? ARF !
Par labagnolebof
Quelle idée ridicule que l’État rachète les licences des taxis, d'autant qu'elles ont été remises gratuitement au départ. Si cela se faisait, par équité, il faudrait aussi racheter le fonds de commerce de tous les commerçants qui n'ont pas trouvé à revendre leur affaire.
Il y a des dizaines d'activité qui ont disparu dans l'indifférence, laissons les taxis suivre la même évolution.
Par Anonyme
Pour résumer :
- Les taxis ont créé une bulle spéculative, c'est donc de leur faute mais as nécessairement à 100%. Si l'état n'avait pas distribué les plaques au compte-gouttes, on en serait peut-être pas là aujourd'hui. Donc l'Etat a aussi une part de responsabilité à assumer !
- Les plaques ne vaudront plus rien bientôt : pas nouveau la confrontation du commerce en dur et des boutiques virtuelles du web qui font tomber les valeurs d'achat des fonds de commerce...
- Les VTC sont une concurrence déloyale pour les taxis ? Peut-être pour ceux qui ne font que taxi et n'ont pas la double casquette taxi - VTC (ils seraient bien plus nombreux que ceux l'avouent...)
- Et de façon générale, on parle toujours de ce qui est injuste envers soi, en omettant tous les privilèges acquis qui constituent un avantage concurrentiel certain (couloirs de bus, prise de client à la volée, places de stationnement, exonération taxe carburant, ambulances..)
- Un élément cependant qui joue en leur faveur : formation au métier de taxi obligatoire et couteuse :environ 4000 €
Ce que j'ai omis ou oublié, je laisse aux autres le soin de le rajouter ;-)
Par §dob075UJ
Dans leurs fi... les tacos! Hé oui à force de vouloir le beurre, l'argent du beurre, la crémerie (le non déclaré), et la femme du... crémier (prix hallucinant des plaques) au bout d'un moment, on finit par tuer la vache! Les temps changent et les taxis n'auront plus le monopole! L'état leur rappellera que la licence est gratuite et que c'est eux qui on fait grimper le prix des plaques! Il serait honteux que celui-ci rachète les plaques, car je n'ai jamais vu racheté la boucherie qui va fermée... Quitte à ce qu'ils se reconvertissent autant qu'ils le fassent en VTC, cela permettra enfin d'avoir pour beaucoup d'arriver à l'heure voir d'arriver tout court, d'avoir enfin une voiture et non une poubelle, et d'ètre sur d'avoir du forfait après ta réservation! Mais au fait les tacos ne sont ils pas parvenu a faire bloquer les prochaines immatriculations, car c'est un peu c.. pour se convertir de tacos à VTC? Enfin bon c'est eux les boss (les tacos) donc ils ont bien réfléchis comment faire!:ptdr: Les tacos PRESIDENT! :ptdr:
Par WildOne
Perso à la question où allez-vous après avoir hélé un taxi, j'ai eu droit à "trop court" + démarrage en trombe. Sachant qu'il était 1h du matin, qu'il y avait deux kilomètres et que j'avais 40 disques vinyles sur les bras (je revenais de vacances en train et le train avait du retard)
Et le taxi appartenait à une grande enseigne.
Sinon j'ai aussi eu droit à pas mal de refus car "trop loin" + crainte de ne pas être payé ou de faire le retour à vide.
J'en ferais pas non plus une généralité, j'ai eu des chauffeurs très sympas. Mais forcément ce genre d'attitude ça marque et ça jette le discrédit sur une profession.
Du coup, le système VTC tel qu'on en parle avec l'annonce du prix, ça m'a l'air plutôt pas mal.
Par Anonyme
L'auteur de l'article le journaleux Savary , c'est un cousin à Jérôme ? Il a fait l'école du rire au cirque ? Cette tentative de déréglementation il y a qui derrière ? Quelques guignols de VTC à gueule de chauffeur de maître et payés comme des taxis ? Vous connaissez la différence entre putes et escort girls ? Cherchez pas il n'y en a pas . NON derrière il y a Uber et en embuscade Transdev voilà la vérité nue - et il suffit de regarder les actionnaires de Uber !!! Pas du petit artisan qui bricole - ce qu'il veulent faire subir au secteur c'est ce qui est arrivé quand ont débarqués les supermarchés - salariés à tous les étages et disparition des indépendants - Bienvenue in their New World
Par Anonyme
Vous êtes journaliste ou polémiste ?
Où sont vos chiffres, vos faits vérifiés, recoupés… votre enquête de terrain ?
Allez : Avec vous, ou plutôt grâce à vous, les journalistes ont mauvaise réputation.
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Vous êtes journaliste ou polémiste ?
Où sont vos chiffres, vos faits vérifiés, recoupés… votre enquête de terrain ?
Allez : Avec vous, ou plutôt grâce à vous, les journalistes ont mauvaise réputation.
il a dû se faire piquer sa femme par un taxi et le voilà tout haineux - sérieuse avarie pour le çavarie
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Le problème c'est la licence ! Pourquoi déja avoir obligé les taxi à avoir une licence si chère ? C'est du n'importe quoi !!!!!
et pourquoi des buralistes ? et pourquoi des pharmacies ? et pourquoi des licences 4 ? tout le monde doit pouvoir vendre des clopes , des médocs , de l'alcool ... et pourquoi des députés , et pourquoi des journalistes ... et pourquoi un type jaloux , envieux et couillon comme toi ne pourrait pas être remplacé ? Dans un monde où plus personne n'est spécialisé , ce que souhaite le capital , - il est insupportable que certains puissent l'être à d'autres . Remplaçables du jour au lendemain voilà le programme aujourd'hui les taxis , demain une autre profession et une fois tout ruiné ces fameuc entrepreneurs iront ailleurs et peut être mais pas sur qu'ils te prendront en soute .
Par Anonyme
pas gentil de censurer
Par Anonyme
OUIIII, la licence à NYC, le medallion est à 1320000 dollars, il était au même prix qu'à Paris, et les vtc sont là depuis 30 ans et le prix du medallion était le même qu'à Paris il y a dix ans! Paris et NYC ont toujours eu un décallage de dix ans sur tout!! So LOL!!
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