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Commentaires - (Minuit chicanes) "motor show"

Antoine Dufeu

(Minuit chicanes) "motor show"

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Par

Voilà qui est bigrement intéressant, une expo terminée, en une métropole de tout premier plan ( Quimper ), une magnifique photo qui aurait pu tout aussi bien pu être prise à Sarcelles ou Noeux les Mines .... et pas de lien sur d'autres ( et dieu sait si en ces friches industrielles de Detroit, il y a matière )...

C'était vraiment très intéressant. :roll:

Par

Une photo de mon jardin! Cette attention me fait plaisir M. Dufeu.

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Voilà qui est bigrement intéressant, une expo terminée, en une métropole de tout premier plan ( Quimper ), une magnifique photo qui aurait pu tout aussi bien pu être prise à Sarcelles ou Noeux les Mines .... et pas de lien sur d'autres ( et dieu sait si en ces friches industrielles de Detroit, il y a matière )...

C'était vraiment très intéressant. :roll:

   

"une métropole de tout premier plan ( Quimper )"

Tiens tu es aussi méprisant que les bobos parisiens de Canal+ et autres péquenauds qui méprisent la province ?

Le ton de ta remarque le laisse supposé en tout cas.

Par

QUIMPER

O mes écrits nouveaux ! je veux qu'ils outrepassent

Le ciel ! le poète fidèle à son rêve impossible !

Attelé dans les bras solides de la Muse

Il écrit sur l'azur envers du Paradis.

Gentil Quimper, le nid de mon enfance

De lierre, ormeaux, roches tout tapissé,

Vois ce, d'un tendre effort, qu'à ta force

J'offre ! un miroir de hêtres et de houx,

Hêtres et houx cachant nos jeux de courses

Par intervalle dans l'étroite vallée !

Ayant confié le cartable à la mousse

Avec les compagnons j'ai folâtré.

Mère ou servante, le dos à la feuillée

Brodait, cousait ou ravaudait les bas

Sans craindre trop la pente ravinée

Car les quiconces protégeaient nos faux pas.

Du haut en bas ce n'était que feuillage

Piécettes d'ombre et pièces de soleil

Sur une haie c'est du linge qui flotte

Troupeau gardé par la vieille au bâton

Nous, lévriers de la terre moussue

Nous poursuivions dans le couloirs de hêtres

Blancs, hérissés parfois d'éventails de rameaux

En bas, l'Odet aux ponts de fer multiples

Se gargarise interminablement.

Sur le disque éclatant de l'Odet élargi

J'aimais apercevoir entre les doigts des arbres

Les joues du grand voilier dorées par le soleil

Tandis que sous nos pieds s'élançant des broussailles

Les trois-mâts fins et lourds faisaient songer à Dieu.

J'écris nos deux clochers en lettres majuscules

Fleuries, enrubannées, pleines de cris d'oiseaux

L'escalier de la tour au milieu des coquilles

Des blancs, des nuits, des coins et des coups d'air soudains

C'était comme paraphe ! Avec des Parisiens

Nous avons effrayé vos poutres, grandes orgues !

Jésus habite en bas. C'est une tiare

Le haut, le phare que les archanges

Tiennent depuis des siècles et des siècles à deux mains

On tolère la canne et le pied des humains

Or le vallon serait un clocher à l'envers

Sans les gros marronniers et vingt-cinq ponts de fer.

Max Jacob

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

QUIMPER

O mes écrits nouveaux ! je veux qu'ils outrepassent

Le ciel ! le poète fidèle à son rêve impossible !

Attelé dans les bras solides de la Muse

Il écrit sur l'azur envers du Paradis.

Gentil Quimper, le nid de mon enfance

De lierre, ormeaux, roches tout tapissé,

Vois ce, d'un tendre effort, qu'à ta force

J'offre ! un miroir de hêtres et de houx,

Hêtres et houx cachant nos jeux de courses

Par intervalle dans l'étroite vallée !

Ayant confié le cartable à la mousse

Avec les compagnons j'ai folâtré.

Mère ou servante, le dos à la feuillée

Brodait, cousait ou ravaudait les bas

Sans craindre trop la pente ravinée

Car les quiconces protégeaient nos faux pas.

Du haut en bas ce n'était que feuillage

Piécettes d'ombre et pièces de soleil

Sur une haie c'est du linge qui flotte

Troupeau gardé par la vieille au bâton

Nous, lévriers de la terre moussue

Nous poursuivions dans le couloirs de hêtres

Blancs, hérissés parfois d'éventails de rameaux

En bas, l'Odet aux ponts de fer multiples

Se gargarise interminablement.

Sur le disque éclatant de l'Odet élargi

J'aimais apercevoir entre les doigts des arbres

Les joues du grand voilier dorées par le soleil

Tandis que sous nos pieds s'élançant des broussailles

Les trois-mâts fins et lourds faisaient songer à Dieu.

J'écris nos deux clochers en lettres majuscules

Fleuries, enrubannées, pleines de cris d'oiseaux

L'escalier de la tour au milieu des coquilles

Des blancs, des nuits, des coins et des coups d'air soudains

C'était comme paraphe ! Avec des Parisiens

Nous avons effrayé vos poutres, grandes orgues !

Jésus habite en bas. C'est une tiare

Le haut, le phare que les archanges

Tiennent depuis des siècles et des siècles à deux mains

On tolère la canne et le pied des humains

Or le vallon serait un clocher à l'envers

Sans les gros marronniers et vingt-cinq ponts de fer.

Max Jacob

   

Ou comment tenter de s'en tirer par une pathétique pirouette après avoir sortie une grosse ânerie...

Bien qu'étant clodoaldien tu n'es qu'un sale bobo méprisant et méprisable !

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Par §wer536yA

Encore un article sans intérêt ...

Sérieux, ça intéresse qui sur le site ?

Une expo terminée paumée en Bretagne, avec une photo d'une très jolie barrière. Décidément, on s'éclate avec Antoine Dufeu !

Par

En réponse à Anonyme

Ou comment tenter de s'en tirer par une pathétique pirouette après avoir sortie une grosse ânerie...

Bien qu'étant clodoaldien tu n'es qu'un sale bobo méprisant et méprisable !

   

Tu ne serais pas clodo tout court dans ta tête pour le moins @ 23h54 ?

Par Anonyme

mdr les paranos qui ne comprennent rien à ce qui se dit et qui attendent la 1ère fausse excuse possible pour insulter les "bobos"...

Du grand art.

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Tu ne serais pas clodo tout court dans ta tête pour le moins @ 23h54 ?

   

"Tu ne serais pas clodo tout court dans ta tête pour le moins @ 23h54 ?"

Ah ben y avait longtemps que pour t'en sortir tu n'insultait pas les gens....ça faisait bien au moins ouh....5 ou 6heures.

Pathétique!

Par

En réponse à Anonyme

"Tu ne serais pas clodo tout court dans ta tête pour le moins @ 23h54 ?"

Ah ben y avait longtemps que pour t'en sortir tu n'insultait pas les gens....ça faisait bien au moins ouh....5 ou 6heures.

Pathétique!

   

Insulter un anonyme. :fresh: Mais ça ne compte pour rien.

Un peu comme pisser dans le sens du vent dans le crachin breton.

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Insulter un anonyme. :fresh: Mais ça ne compte pour rien.

Un peu comme pisser dans le sens du vent dans le crachin breton.

   

Roc c'est ton prénom ? ou c'est ton nom ?

Non parce que je te trouve tout aussi anonyme ici que n'importe qui...

 

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