Par Anonyme
C'est une bonne chose de remettre ce mode de fonctionnement à plat, à condition de ne pas pénaliser les constructeurs français par rapport à leurs concurrents.
Point Info de 15h - L'enfer de la sous-traitance en prime time
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Par Anonyme
C'est une bonne chose de remettre ce mode de fonctionnement à plat, à condition de ne pas pénaliser les constructeurs français par rapport à leurs concurrents.
Par Anonyme
ils sont passes ou les milliards donnes aux constructeurs et aux sous traitants ???
Par Anonyme
au gens qui ne bossent pas dans l'automobile, les milliards sont des pret ce ne sont pas des dons Et les constructeurs allemands c'est pire
Par Anonyme
des prets ????? kesk ils en font ? d un cote ils empochent ces milliards.de l autre ils ferment des boites et ils licencient.alors elle va ou l argent ???
Par Anonyme
C'est le jeu, de quoi se plaignent-ils ? Les faibles incapables de s'adapter au marché disparaîssent avec leur incapacité, d'autres mieux armés et plus intelligents prendront le relai. Je ne vois pas où est le problème.
Par Anonyme
les perdants ce sont les salaries.les actionnaires et les toliers eux s en sortent toujours.ils n ont pas a pointer a l anpe ou a galerer en interim pour trouver un boulot.pourtant ce sont eux qui creent toutes ces richesses.avec leur travail.qui sont accaparees par une minorite de parasites.
Par Anonyme
La richesse n'est pas créée par le travailleur, qu'est-ce que c'est que ce fantasme ! La richesse est là grâce à un PDG qui sait développer et vendre son produit et gérer une main-d'oeuvre. Sans dirigeant d'entreprise pas de marché, par de clients, par de richesse. Ce n'est pas l'ouvrier qui va s'emmerder dans les paperasseries à la chambre de commerce pour monter sa boîte, ce n'est pas l'ouvrier qui se bat face à la concurrence, ce n'est pas l'ouvrier qui voit son revenu dépendre de son intelligence commerciale. Le travailleur a juste à postuler, passer un entretien et pointer tous les jours aux horaires indiqués, c'est tout. Quand la boîte coule, l'ouvrier pourra toujours trouver un autre job, le patron au contraire doit tout reconstruire, sans indemnités !
Par Anonyme
L’équipementier prend l’argent et ferme l’usine L’équipementier automobile Trèves, spécialisé dans la garniture de sièges et de portes, compte fermer son usine de Crépy-en-Valois, dans l’Oise, et celle d’Ay dans la Marne : 600 personnes au total devraient perdre leur emploi. Or, ce groupe vient de recevoir 55 millions d’euros d’aides publiques à travers le « Fonds de Modernisation des Equipementiers Automobiles ». Dès l’annonce de la fermeture de leur usine, le 10 avril, les travailleurs de Crépy-en-Valois se sont mis en grève. Il n’y a qu’ainsi qu’ils pourront se faire respecter.
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