Commentaires - Etats-Unis : le cas particulier des breaks, avec un marché tenu par Subaru

En même temps rien d'étonnant

En même temps, Alfa n'arrive ps à vendre grand chose...

La Giulia est à mon sens la plus belle berline, mais cela n'empêche rien au fait que l'absence d'une version SW sur son segment est un réel handicap commercial.

C'est tristement vrai. Très jolie et pleine de qualité, elle gagnerait à avoir une version break.

Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'alu.... mais c'est bien sur!!!

je vois pas le rapport entre Alfa et Subaru mais c'est pas grave

j'étais à deux doigts de commencer à me la péter genre "american style" avec mon break marea... encore loupé

J'ai eu une Marea en break, version 5 cylindres 2.4 L TD, 125 cv. A l'époque c'était beaucoup puisque les Audi A4 ou Passat TDi plafonnaient à 90 et 110 CV. Il n'y avait que la BMW 325 TDS qui sortait 143 cv (de mémoire) et la Merco 190 D 2.5 L qui étaient plus puissantes que l'excellent (mais gourmand) 5 cylindres Fiat. A l'origine créé pour les Lancia Kappa (ça remonte...) Alfa 156 et donc Fiat Marea. J'avais attendu près de 6 mois la dispo de l'Alfa 156 en version SW mais la berline était un tel carton (à l'échelle d'Alfa bien sur) qu'elle a sauvé la marque et la dispo de la version SW à été maintes fois repoussée. Bref je m'étais rabattu un peu par dépit sur la Marea et elle fut une très bonne compagne pendant 205.000 kms. Tellement content que je l'avais changé pour une Alfa 159 SW toujours en 2.4 mais JTD, poussé à 150 cv (je crois, puis il y a eu une évolution en 175 cv), c'était une des toutes premières reçues dans le 06. 215.000 km pour l'Alfa 159 qui était plus puissante mais tellement plus lourde que la Marea et finalement la Fiat était plus sympa à conduire, sauf sur autoroute, malgré sa puissance inférieure.

Jamais eu de vrais soucis avec les 2 italiennes, à part des serrures qui se grippaient et détails de finition mais on sentait bien que le réseau faisait ce qu'il pouvait avec le peu que lui donnait le constructeur...

Et la Volvo XC70 ???

Il y a belle lurette que le concept Cross-Country existe chez Volvo et notamment pour le marché US...

Subaru est inintéressant en France à cause des performances des moteurs proposes.

Ils ont de la chance Les Yankees

effectivement j'en suis très content de cette auto... juste un peu bruyante mais je lui pardonne

Sauf que ces mastodontes ne sont pas adaptés aux routes sinueuses de notre continent, ni à nos centres-ville où se garer est de plus en plus compliqué. Sans parler du prix des carburant par chez nous. Un break est plus aérodynamique, moins large, moins haut et tient forcément mieux la route. Il existe des breaks 7 places avec une position de conduite très confortable. Quant au tout-chemin, quasi personne n'ira salir son SUV à 30 000 euros dans la gadoue en pleine foret, soyons honnête.

Rah, le Legacy Outback H6, toujours un plaisir de le retrouver quand je suis en visite dans de la famille géographiquement éloignée !

" Les breaks n'ont jamais été la tasse de thé des américains "

Vous voulez rire ? Des années 1930 jusqu'aux années 1980, les états-unis étaient le premier marché pour ce type de carrosserie. D'abord des modèles avec une carrosserie arrière en bois, puis à partir des années 1960 des breaks en métal mais qui conservaient des autocollants façon bois sur les flancs pour faire couleur locale.

Au demeurant, le marché nord-américain a aussi été un eldorado pour les breaks Volvo, de la 240 à la 960.

Ce n'est que depuis les années 1990 que ce type de voiture est tombé en désuétude aux États-Unis, remplacé par les monospaces puis par les SUV.

Heureusement, en Europe on en a encore... Mais très peu de Subaru.

Pourtant dans mon enfance au Maroc dans les années 50 les breaks américains étaient prisés par les agriculteurs, comme voiture à tout faire en effet et très spacieuse. De toutes façons les Suv n'existaient pas et les Pick up n'étaient que des utilitaires et sans places arrière. Les ricaines avaient pour elles leur robustesse à toute épreuve, utile dans un pays très chaud et aux routes parfois proches de la piste, leur prix relativement accessible grâce aux accords douaniers entre Maroc et Usa et le fait qu'alors on se foutait de la conso, essence pas chère et écologie inconnue au bataillon.