Par fedoismyname
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Votre impact ne vous gêne pas plus que ça et il n’a pas « bougé », alors à quoi bon faire réparer ? Sachez que c’est un choix qui peut parfois coûter cher car si l’impact est placé dans votre champ de vision ou trop important, en cas de contrôle routier vous risquez une amende de 375 €. La faute en incombe au Code de la Route qui stipule que « tout objet ou acte susceptible d’altérer la transparence de la vision du conducteur expose celui-ci à une amende ». Et en plus vous serez bien souvent dans l’obligation de faire réparer. En outre, lors du passage au contrôle technique, vous risquez de vous faire recaler pour « défaillance majeure » ou « critique » avec en prime la réparation encore une fois obligatoire et la contre-visite en prime.
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Tout dépend de la taille de l'impact et de sa forme.
Pour ma part, j'en ai un depuis au moins 4 ans sur mon parebrise et en plein dans le camp de vision.
Mais il ne me gêne absolument pas et sa taille n'excède pas ce qui est requis au maximum. Si bien qu'il est passé sans problème aux 2 derniers CT.
Et si ça n'était le seul... Quand je roulais beaucoup, et notamment sur autoroute, c'était monnaie courante, les projections de gravillons.
Alors, celui qui s'amuse à faire jouer son assurance à tout bout de champ a intérêt à se méfier, car à tout moment, les assureurs, franchise ou pas, peuvent estimer que l'assuré n'est plus intéressant, pour eux, et peuvent donc dès que possible résilier le contrat.
Et si c'est pour changer de parebrise ou le réparer après un petit pet, on n'est pas à l'abri d'en avoir un juste après. Et donc bis et repetita.
Enfin, ça fait plus d'un siècle que les parebrises sont traités spécifiquement pour qu'ils n'explosent sur la gueule du conducteur et du passager avant.
Dès lors, en cas de grosse fissure, on a le temps de faire le nécessaire. Mais surtout, inutile de s'exciter, si ça n'est pas très grave.
A noter que les gravillons sont également une plaie pour la peinture.
Mais bon, une voiture est faite pour rouler et subir par conséquent ce qui semble de toute façon inéluctable. Faut donc faire avec.