Par deville70
Une série que je n' ai jamais pris le temps de connaître.
Et je n' en suis pas plus curieux aujourd' hui.
Miami Vice et Ferrari, c'est toute une histoire
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Par deville70
Une série que je n' ai jamais pris le temps de connaître.
Et je n' en suis pas plus curieux aujourd' hui.
Par ze_cat
jamais aimé cette série.... trop bling bling, improbable, etc...
Par ChatMallow
2 flics à Miami et 1 rétro à mi-hauteur
Par Osterman
Alors petite erreur : dans les 2 premières saisons de la série, la Ferrari est une réplique de 365 GTS/4 (la version découvrable, donc), et pas de 365 GTB/4 comme indiqué dans l'article.
Mais surtout : cette réplique de 365 GTS/4 est noire, et cela n'a pas semblé poser de problème aux techniciens chargés de l'éclairer et de la filmer. Pourquoi donc cette couleur noire serait devenue un problème avec la Testarossa ?
Par Salva
En France ça aurait donné 2 flics dans le Neuf-Trois , en Alpine GTA Turbo .
Par Salva
Ou en MVS Venturi , pourquoi pas .
Par franpir21
Le film (du grand Michael Mann) est très supérieur à la série.
Sans doute parce qu'il a su se départir du "style" années 80, le pire qui soit.
Par manu.lille
la série était bien sympa : pas trop violente, un peu d'humour, de belles villas, de grosses bagnoles.
ca permettait passer un moment sympa devant un écran cathodique
Par roc et gravillon
À part ça, le Squale a pu voir un marchand, mais qui ne lui a rien vendu.
Léon Marchand domine facilement le 50 m brasse du meeting de la Réunionhttps://www.lequipe.fr/Natation/Actualites/Leon-marchand-domine-facilement-le-50-m-brasse-du-meeting-de-la-reunion/1528062
Par Aznog
Clairement cette affreuse verrue qui arrache la rétine ... on est presque au niveau des tablettes d'aujourd'hui, posées à la zob sur un tableau de bord complètement vide.
Par Aznog
En réponse à franpir21
Le film (du grand Michael Mann) est très supérieur à la série.
Sans doute parce qu'il a su se départir du "style" années 80, le pire qui soit.
Les séries de l'époque, c'était majoritairement du jetable pour combler des grilles de diffusion des chaines de TV.
Vite écrites, filmées, montées ... tu rajoutes à ca le kitch de l'époque et les musiques au synthé et tu as la totale
Par F18Hornet
L’histoire des modèles répliques de la Ferrai 365 Daytona 4 GTS Spyder est un peu plus originale qu’exposé dans l’article.
A l’origine le roadster a été présenté à l'IAA de 1969 à Francfort. Deux ans plus tôt, la version coupé 365 GTB/4 a remporté la course de 24 heures de Daytona en raflant les trois places du podium. A partir de là les Ferrari 365 ont été appelés Daytona. Depuis des années, les prix des Ferrari Daytona augmentent, actuellement, environ 250 000 euros sont demandés pour le coupé et 1,3 million d'euros pour le cabriolet. Entre 1969 et 1973, 1.284 coupés ont été construits, mais seulement 125 Ferrari GTS/4 Daytona Spider, ce qui explique immédiatement la différence de prix entre la version ouvrable et la version à toit rigide. Voilà la raison, pourquoi il n’y a pratiquement pas de modèles Spyder sur le marché. Donc automatiquement le marché a demandé des versions répliques mais aussi des conversions, c'est-à-dire des coupés sciés ultérieurement en cabriolet.
La fabrication de modèles Spider pour le marché nord-américain a d'ailleurs été reprise par le vieux maître de carrosserie Scaglietti à Maranello. L’histoire pourrait déjà être terminée mais voilà c'est précisément avec cette entreprise de maître qu'un certain Tom McBurnie de la société Coachcraft de Santee/Californie a maintenu un contact animé.
En 1986 McBurnie commandait chez Scagalietti en Italie presque tous les jours des pare-chocs chromés, des phares et toutes sortes de garnitures en plastique. Bien sûr, pas pour réparer des centaines de Daytona accidentées, mais pour en faire son propre Daytona Spider. Comme McBurnie était lui-même un partisan enthousiaste de la légendaire super voiture de sport depuis des années, il a fait reproduire sans plus tarder une forme négative d'une voiture de démonstration. Après seulement quelques jours, le moule en résine synthétique était durci et il a pu commencer son projet : une carrosserie similaire au modèle original, qui peut être superposée sur la plate-forme d'une Corvette C3 de 1977. Grâce aux pièces jointes d'origine de Scaglietti, le roadster ressemblait comme une goutte d’eau à l'original qui valait plus d'un million de dollars. Le tout n'aurait probablement jamais été découvert par Ferrari si McBurnie n'avait pas fourni deux prototypes noirs au producteur de la série policière américaine Miami Vice.
Par BigD
Nous, on avait les Nuls, avec 2 flics ami-ami ! Sinon, le look ! Brushing, veste à épaulettes sur t-shirt, pantalons à pinces, Ray-ban et la clope au bec. La classe à Dallas... Enfin, à Miami !
Par ScreamingChicken
Vu qu'en France on nourrit un profond mépris pour les flics, surtout dans le septième art détenu à 99% par la gauche, tu peux être certain que le poulet aurait été interprété par Gérard Jugnot.
Par ChatMallow
En réponse à ScreamingChicken
Vu qu'en France on nourrit un profond mépris pour les flics, surtout dans le septième art détenu à 99% par la gauche, tu peux être certain que le poulet aurait été interprété par Gérard Jugnot.
Pinot simple flic... mais c'était un film.
Par niakola
En réponse à F18Hornet
L’histoire des modèles répliques de la Ferrai 365 Daytona 4 GTS Spyder est un peu plus originale qu’exposé dans l’article.
A l’origine le roadster a été présenté à l'IAA de 1969 à Francfort. Deux ans plus tôt, la version coupé 365 GTB/4 a remporté la course de 24 heures de Daytona en raflant les trois places du podium. A partir de là les Ferrari 365 ont été appelés Daytona. Depuis des années, les prix des Ferrari Daytona augmentent, actuellement, environ 250 000 euros sont demandés pour le coupé et 1,3 million d'euros pour le cabriolet. Entre 1969 et 1973, 1.284 coupés ont été construits, mais seulement 125 Ferrari GTS/4 Daytona Spider, ce qui explique immédiatement la différence de prix entre la version ouvrable et la version à toit rigide. Voilà la raison, pourquoi il n’y a pratiquement pas de modèles Spyder sur le marché. Donc automatiquement le marché a demandé des versions répliques mais aussi des conversions, c'est-à-dire des coupés sciés ultérieurement en cabriolet.
La fabrication de modèles Spider pour le marché nord-américain a d'ailleurs été reprise par le vieux maître de carrosserie Scaglietti à Maranello. L’histoire pourrait déjà être terminée mais voilà c'est précisément avec cette entreprise de maître qu'un certain Tom McBurnie de la société Coachcraft de Santee/Californie a maintenu un contact animé.
En 1986 McBurnie commandait chez Scagalietti en Italie presque tous les jours des pare-chocs chromés, des phares et toutes sortes de garnitures en plastique. Bien sûr, pas pour réparer des centaines de Daytona accidentées, mais pour en faire son propre Daytona Spider. Comme McBurnie était lui-même un partisan enthousiaste de la légendaire super voiture de sport depuis des années, il a fait reproduire sans plus tarder une forme négative d'une voiture de démonstration. Après seulement quelques jours, le moule en résine synthétique était durci et il a pu commencer son projet : une carrosserie similaire au modèle original, qui peut être superposée sur la plate-forme d'une Corvette C3 de 1977. Grâce aux pièces jointes d'origine de Scaglietti, le roadster ressemblait comme une goutte d’eau à l'original qui valait plus d'un million de dollars. Le tout n'aurait probablement jamais été découvert par Ferrari si McBurnie n'avait pas fourni deux prototypes noirs au producteur de la série policière américaine Miami Vice.
Merci pour ces informations pertinentes
Par Romain_RS2
En réponse à Osterman
Alors petite erreur : dans les 2 premières saisons de la série, la Ferrari est une réplique de 365 GTS/4 (la version découvrable, donc), et pas de 365 GTB/4 comme indiqué dans l'article.
Mais surtout : cette réplique de 365 GTS/4 est noire, et cela n'a pas semblé poser de problème aux techniciens chargés de l'éclairer et de la filmer. Pourquoi donc cette couleur noire serait devenue un problème avec la Testarossa ?
Oui, je pense que la vérité est ailleurs pour le changement de couleur de la Testarossa.
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