
Découvrez les 140 voitures électriques du marché vendues en 2025
Navettes autonomes : un accueil positif en zone rurale
Déposer un commentaire
Lire les commentaires
Par Smoosies
Tout à fait, je l'ai toujours dit , c'est par cela que passera nos futurs déplacements dans les villes, car au delà de savoir qu'elle énergie nous utiliserons, ce sera bien les comportements de mobilités qui devront changer pour réduire nos émissions.
Les navettes autonomes seront au cœur de cette révolution.
IL restera donc : la marche, le vélo, les navettes autonomes.
Par matrix71
Quand on les piratera les gens vont faire le grand 8
Par Aznog
Quand tu grattes le vernis de cette expérimentation et que tu fais abstraction de l'image d'illustration qui présente une navette Navya ... tu t'aperçois que la "navette autonome", c'est un minibus classique (base Renault Master), 50 km/h max, ... avec un opérateur au volant qui reprend la main dès que le véhicule se trouve dans une situation qu'il ne sait pas gérer.
L'expérimentation à Cœur de Brenne est tout simplement une mini ligne de bus (trajet de 18 km entre 4 communes) qui passe 4 à 5x / jour de 7h30 à 18h30, 5 jours / semaine.
Donc pas besoin de trop s'enflammer sur la conclusion qu'on peut falsifier à loisir ... les gens sont "contents" d'avoir cette mini ligne de bus dans un trou paumé.
La navette n'est pas encore autonome pour le moment et le côté "techno enthousiaste" type "Commande d'un véhicule à la demande", on en est encore loin.
Par Pat ira pas loin
j'espère qu'elles roulent plus vite qu'à Lyon, car à maxi 20 km/h, je ne vois pas trop l'intérêt, j'en ai suivi une, jusqu'à son terminus,il n'y avait qu'un client qui en descendait , je croyais, je demande à la personne ou est le chauffeur, c'était lui, lui demande pourquoi il roule si peu vite, si cela l'amuse de faire chier le monde, et m'explique que c'est un véhicule autonome, et qu'il n'a pas le droit de rouler plus vite, et que lui n'ai là que pour reprendre la main si disfonctionnement.
Je lui demande comment il fait car il n'y a rien, il me montre sa manette de PlayStation.
Par zzeelec
En réponse à Smoosies
Tout à fait, je l'ai toujours dit , c'est par cela que passera nos futurs déplacements dans les villes, car au delà de savoir qu'elle énergie nous utiliserons, ce sera bien les comportements de mobilités qui devront changer pour réduire nos émissions.
Les navettes autonomes seront au cœur de cette révolution.
IL restera donc : la marche, le vélo, les navettes autonomes.
Parking relais + navettes autonomes qui fonctionnent en 24/24 et 7/7, accessibles avec une app pour la géolocalisation + gestion des arrêts. Et comme ça, on peut réserver tous les centres-villes aux mobilités douces et on arrête la guéguerre centre-villes/banlieues/campagnes.
Par zzeelec
En réponse à Aznog
Quand tu grattes le vernis de cette expérimentation et que tu fais abstraction de l'image d'illustration qui présente une navette Navya ... tu t'aperçois que la "navette autonome", c'est un minibus classique (base Renault Master), 50 km/h max, ... avec un opérateur au volant qui reprend la main dès que le véhicule se trouve dans une situation qu'il ne sait pas gérer.
L'expérimentation à Cœur de Brenne est tout simplement une mini ligne de bus (trajet de 18 km entre 4 communes) qui passe 4 à 5x / jour de 7h30 à 18h30, 5 jours / semaine.
Donc pas besoin de trop s'enflammer sur la conclusion qu'on peut falsifier à loisir ... les gens sont "contents" d'avoir cette mini ligne de bus dans un trou paumé.
La navette n'est pas encore autonome pour le moment et le côté "techno enthousiaste" type "Commande d'un véhicule à la demande", on en est encore loin.
Ça c'est parce qu'on est très conservateurs et timorés... la France, quoi...
Par Pat ira pas loin
En réponse à zzeelec
Parking relais + navettes autonomes qui fonctionnent en 24/24 et 7/7, accessibles avec une app pour la géolocalisation + gestion des arrêts. Et comme ça, on peut réserver tous les centres-villes aux mobilités douces et on arrête la guéguerre centre-villes/banlieues/campagnes.
bien vu, parking gratuit et transports en commun gratuit et là c'est parfait.
Par roc et gravillon
La boite qui produit le gracieux machin qui illustre l'article est en totale déliquescence.
https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/navya-ou-lhistoire-troublante-de-la-navette-autonome-qui-voulait-avancer-trop-vite-1904507
Valeur de l'action à l'heure de ce post :
0,03 €.
Oui... 3 centimes !
Par fedoismyname
(..)
près de 60 % des sondés, aussi bien dans la Drôme que dans l'Indre, se disent « prêts à utiliser régulièrement une navette autonome sur des trajets entre un et cinq kilomètres.
(..)
On aurait donc 60% de vieux dans les villes ?
Cabas à roulettes, poussettes... pour les courses et trimballer les petits existent depuis longtemps.
Si les gens ne sont plus foutus de marcher pour faire quelques kilomètres, mais où va-t-on ?
Par fedoismyname
En réponse à Aznog
Quand tu grattes le vernis de cette expérimentation et que tu fais abstraction de l'image d'illustration qui présente une navette Navya ... tu t'aperçois que la "navette autonome", c'est un minibus classique (base Renault Master), 50 km/h max, ... avec un opérateur au volant qui reprend la main dès que le véhicule se trouve dans une situation qu'il ne sait pas gérer.
L'expérimentation à Cœur de Brenne est tout simplement une mini ligne de bus (trajet de 18 km entre 4 communes) qui passe 4 à 5x / jour de 7h30 à 18h30, 5 jours / semaine.
Donc pas besoin de trop s'enflammer sur la conclusion qu'on peut falsifier à loisir ... les gens sont "contents" d'avoir cette mini ligne de bus dans un trou paumé.
La navette n'est pas encore autonome pour le moment et le côté "techno enthousiaste" type "Commande d'un véhicule à la demande", on en est encore loin.
En fait, elle sera autonome dans le sens où elle suivra de toute façon un parcours prédéfini.
Un peu comme un tramway, mais sans rail. In fine, c'est facile à mettre au point.
On ne parle pas ici de navettes qui feront office de taxis pour t'emmener n'importe où.
Par Rob Eau
En réponse à fedoismyname
(..)
près de 60 % des sondés, aussi bien dans la Drôme que dans l'Indre, se disent « prêts à utiliser régulièrement une navette autonome sur des trajets entre un et cinq kilomètres.
(..)
On aurait donc 60% de vieux dans les villes ?
Cabas à roulettes, poussettes... pour les courses et trimballer les petits existent depuis longtemps.
Si les gens ne sont plus foutus de marcher pour faire quelques kilomètres, mais où va-t-on ?
Ce ne sont pas uniquement "les vieux". Pas loin de chez moi il y a une école primaire et une maternelle. La rue n'est pas large, mais ça ne gène nullement les jeunes parents qui se garent des deux côtés avec leurs bétaillères, à défaut de pouvoir rentrer jusque dans les classes. Il est alors impossible à deux voitures de se croiser car il ne reste de ce fait qu'une voie. Un grand parking facile d'accès se trouve à moins de 100 mètres, mais non, c'est trop loin. Comment veux-tu que les mômes aient le bon exemple ?
Par fedoismyname
En réponse à
Commentaire supprimé.
Oui, et je l'ai déjà fait.
Je ferais peut-être ça quand je serai à la retraite et que je pourrai me permettre de perdre 2x20-30 minutes pour y aller et en revenir.
Mais comme je fais ça le midi en pause du télétravail, je préfère prendre ma voiture.
J'ai déjà également utilisé mon vélo, mais pour y récupérer des bricoles, pas des packs d'eau, du terreau ou d'autres trucs lourds ou tout simplement encombrants (comme du PQ).
Après, quand il pleut, qu'il fait froid... forcément, la voiture s'impose.
Et quand il fait chaud, pour ramener des glaces ou autres trucs à maintenir au frais, elle s'impose également.
Par fedoismyname
En réponse à Rob Eau
Ce ne sont pas uniquement "les vieux". Pas loin de chez moi il y a une école primaire et une maternelle. La rue n'est pas large, mais ça ne gène nullement les jeunes parents qui se garent des deux côtés avec leurs bétaillères, à défaut de pouvoir rentrer jusque dans les classes. Il est alors impossible à deux voitures de se croiser car il ne reste de ce fait qu'une voie. Un grand parking facile d'accès se trouve à moins de 100 mètres, mais non, c'est trop loin. Comment veux-tu que les mômes aient le bon exemple ?
Oui, je le sais, malheureusement.
On est toujours dans l'extrêmisme, entre ceux qui prônent le vélo pour faire 20 bornes et ceux qui prônent la voiture pour faire 200 mètres.
Par Aznog
En réponse à roc et gravillon
La boite qui produit le gracieux machin qui illustre l'article est en totale déliquescence.
https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/navya-ou-lhistoire-troublante-de-la-navette-autonome-qui-voulait-avancer-trop-vite-1904507
Valeur de l'action à l'heure de ce post :
0,03 €.
Oui... 3 centimes !
Ce n'est qu'une sangsue à subventions (une de plus) qui a surfé sur la bulle tech / VE
-98.43% en 1 an. Belle perf !
Par Aznog
En réponse à fedoismyname
En fait, elle sera autonome dans le sens où elle suivra de toute façon un parcours prédéfini.
Un peu comme un tramway, mais sans rail. In fine, c'est facile à mettre au point.
On ne parle pas ici de navettes qui feront office de taxis pour t'emmener n'importe où.
Ca reste un véhicule qui se déplace au milieu de la circulation, sur une route "ouverte" avec d'autres usagers, des intersections, ...
Alors ok, c'est perdu en pleine cambrousse donc statistiquement, ça risque moins d'être confronté à des situations complexes / accidentogènes surtout en étant limité à 50 km/h. J'imagine aussi que l'unique route entre les 4 villages a été cartographiée au mm pour préparer le terrain.
Mais ça empêche pas d'entretenir la confusion entre la conduite autonome (voire la mobilité à la demande) quelque soit l'itinéraire emprunté et cette expérimentation dans un milieu restreint et semi-contrôlé.
Le délire de l'autopilot de niveau 5 (sauce Musk vendu au début) est encore loin.
Par zzeelec
En réponse à Aznog
Ca reste un véhicule qui se déplace au milieu de la circulation, sur une route "ouverte" avec d'autres usagers, des intersections, ...
Alors ok, c'est perdu en pleine cambrousse donc statistiquement, ça risque moins d'être confronté à des situations complexes / accidentogènes surtout en étant limité à 50 km/h. J'imagine aussi que l'unique route entre les 4 villages a été cartographiée au mm pour préparer le terrain.
Mais ça empêche pas d'entretenir la confusion entre la conduite autonome (voire la mobilité à la demande) quelque soit l'itinéraire emprunté et cette expérimentation dans un milieu restreint et semi-contrôlé.
Le délire de l'autopilot de niveau 5 (sauce Musk vendu au début) est encore loin.
"Ca reste un véhicule qui se déplace au milieu de la circulation, sur une route "ouverte" avec d'autres usagers, des intersections, ..."
L'idée maline serait justement de réserver certaines artères des centres-villes à ce type de véhicules totalement autonomes.
Seulement en France, c'est la politique de la trouille et du risque zéro et l'absence de changement qui dominent, pas vraiment l'esprit d'innovation. Pays de vieux.
Par Aznog
En réponse à zzeelec
"Ca reste un véhicule qui se déplace au milieu de la circulation, sur une route "ouverte" avec d'autres usagers, des intersections, ..."
L'idée maline serait justement de réserver certaines artères des centres-villes à ce type de véhicules totalement autonomes.
Seulement en France, c'est la politique de la trouille et du risque zéro et l'absence de changement qui dominent, pas vraiment l'esprit d'innovation. Pays de vieux.
L'implantation d'un grand nombre de centre-villes européens date du moyen age ... c'est donc un bordel absolu ou il n'est pas possible de "réserver une voie" sans que celle ci soit coupée par énormément d'autres voies (sans parler de faire accepter le fait de réduire, encore une fois, la circulation des automobilistes normaux).
Bref, c'est pas des villes "à l'américaine" compartimentées en blocs et quadrillés par des routes en angles droits.
L'expérimentation sur une départementale perdue dans la cambrousse coupée par plus de chemins de tracteurs que de routes, c'est, encore une fois, moins "risqué".
Le boss final, ca reste les grandes villes surpeuplées des pays du tiers monde où le code de la route se résume à "anarchie" et où il est pas rare de croiser encore des charrettes au milieu d'un océan de 2 roues qui font n'importe quoi.
Par zzeelec
En réponse à Aznog
L'implantation d'un grand nombre de centre-villes européens date du moyen age ... c'est donc un bordel absolu ou il n'est pas possible de "réserver une voie" sans que celle ci soit coupée par énormément d'autres voies (sans parler de faire accepter le fait de réduire, encore une fois, la circulation des automobilistes normaux).
Bref, c'est pas des villes "à l'américaine" compartimentées en blocs et quadrillés par des routes en angles droits.
L'expérimentation sur une départementale perdue dans la cambrousse coupée par plus de chemins de tracteurs que de routes, c'est, encore une fois, moins "risqué".
Le boss final, ca reste les grandes villes surpeuplées des pays du tiers monde où le code de la route se résume à "anarchie" et où il est pas rare de croiser encore des charrettes au milieu d'un océan de 2 roues qui font n'importe quoi.
Le premier boss chez nous, c'est de trouver du foncier pour installer des parkings relais suffisamment grands et assez proches des grands centres urbains.
Par fedoismyname
En réponse à Aznog
Ca reste un véhicule qui se déplace au milieu de la circulation, sur une route "ouverte" avec d'autres usagers, des intersections, ...
Alors ok, c'est perdu en pleine cambrousse donc statistiquement, ça risque moins d'être confronté à des situations complexes / accidentogènes surtout en étant limité à 50 km/h. J'imagine aussi que l'unique route entre les 4 villages a été cartographiée au mm pour préparer le terrain.
Mais ça empêche pas d'entretenir la confusion entre la conduite autonome (voire la mobilité à la demande) quelque soit l'itinéraire emprunté et cette expérimentation dans un milieu restreint et semi-contrôlé.
Le délire de l'autopilot de niveau 5 (sauce Musk vendu au début) est encore loin.
De toute façon, le simple fait de parler de véhicules autonomes en se basant sur 5 niveau d'autonomie alors qu'on sait que seul le dernier permet de se passer de conducteur, c'est déjà un bon moyen d'embrouiller la tête des gens.
Sur une voiture, seule le niveau 5 permet de se passer de volant. Donc par défaut, on ne devrait pas parler de voiture autonome pour les niveaux 1 à 4.
mais après, en terme de com, certains vont te parler de voitures autonomes de niveau 3, qui n'ont donc rien dans les faits d'autonome.
et là, cette navette classifiée autonome, malgré l'absence de volant, sera in fine à mi-chemin entre le niveau 4 et le niveau 5, puisqu'elle ne circulera que sur un trajet prédéfini par l'opérateur, même si le dit opérateur pourra malgré tout au besoin lui faire changer d'itinéraire. mais à priori, si une rue est par exemple bouchée, il y a peu de chance qu'elle prenne la décision elle-même de faire un détour. même si cela reste à confirmer.
Par fedoismyname
En réponse à zzeelec
"Ca reste un véhicule qui se déplace au milieu de la circulation, sur une route "ouverte" avec d'autres usagers, des intersections, ..."
L'idée maline serait justement de réserver certaines artères des centres-villes à ce type de véhicules totalement autonomes.
Seulement en France, c'est la politique de la trouille et du risque zéro et l'absence de changement qui dominent, pas vraiment l'esprit d'innovation. Pays de vieux.
(..)
L'idée maline serait justement de réserver certaines artères des centres-villes à ce type de véhicules totalement autonomes.
(..)
Dans ce cas, autant mettre des rails, à l'instar d'un tramway, si c'est pour circuler sur des itinéraires dédiées à la circulation de telles navettes.
Même si l'intérêt d'une telle navette sur un tramway, c'est de pouvoir disposer d'engins moins coûteux et capables au besoin de se mouvoir sur d'autres itinéraires que ceux prédéfinis au début.
Mais s'il faut dédier des rues à ces engins, ça devient stupide, quelque part, sachant qu'en Suisse ou au Portugal (ou dans d'autres pays), on sait parfaitement faire circuler des tramways dans la circulation automobile.
Par Aznog
En réponse à zzeelec
Le premier boss chez nous, c'est de trouver du foncier pour installer des parkings relais suffisamment grands et assez proches des grands centres urbains.
Pas vraiment ... on a bien des océans de goudron via les zones commerciales de banlieue construites souvent dans les années 70-80 ...
Énormément d'entre elles ne sont pas encore montées sur étages / sous sols pour multiplier les places de parking.
Couplé à une station de bus (en autonome, tu peux même en coller tous les 3-5 mins) et direction le centre ville.
Par roc et gravillon
En réponse à Aznog
Ce n'est qu'une sangsue à subventions (une de plus) qui a surfé sur la bulle tech / VE
-98.43% en 1 an. Belle perf !
Nomalement... boite liquidée à la fin du mois.
Les big guns de l'industrie auto n'ont pas besoin de franchouilles provinciaux pour avancer.
Par zzeelec
En réponse à fedoismyname
(..)
L'idée maline serait justement de réserver certaines artères des centres-villes à ce type de véhicules totalement autonomes.
(..)
Dans ce cas, autant mettre des rails, à l'instar d'un tramway, si c'est pour circuler sur des itinéraires dédiées à la circulation de telles navettes.
Même si l'intérêt d'une telle navette sur un tramway, c'est de pouvoir disposer d'engins moins coûteux et capables au besoin de se mouvoir sur d'autres itinéraires que ceux prédéfinis au début.
Mais s'il faut dédier des rues à ces engins, ça devient stupide, quelque part, sachant qu'en Suisse ou au Portugal (ou dans d'autres pays), on sait parfaitement faire circuler des tramways dans la circulation automobile.
Sauf qu'un tram, c'est coûteux et pas flexible. Le bus est entre les deux. Mais la navette autonome apporterait davantage de souplesse et d'optimisation.
Par zzeelec
En réponse à Aznog
Pas vraiment ... on a bien des océans de goudron via les zones commerciales de banlieue construites souvent dans les années 70-80 ...
Énormément d'entre elles ne sont pas encore montées sur étages / sous sols pour multiplier les places de parking.
Couplé à une station de bus (en autonome, tu peux même en coller tous les 3-5 mins) et direction le centre ville.
Bonne idée en effet, ça s'y prêterait bien.
Par gordini12
En réponse à Smoosies
Tout à fait, je l'ai toujours dit , c'est par cela que passera nos futurs déplacements dans les villes, car au delà de savoir qu'elle énergie nous utiliserons, ce sera bien les comportements de mobilités qui devront changer pour réduire nos émissions.
Les navettes autonomes seront au cœur de cette révolution.
IL restera donc : la marche, le vélo, les navettes autonomes.
Oui en fait c'est la solution du taxi pour remplacer la voiture individuelle.
C'est CHAMPION comme solution !
Par Pat ira pas loin
En réponse à zzeelec
Sauf qu'un tram, c'est coûteux et pas flexible. Le bus est entre les deux. Mais la navette autonome apporterait davantage de souplesse et d'optimisation.
pour 8 personnes maxi, va en falloir aux heures de pointes, autant les accrocher les unes derrières les autres, et à 20 km/ h ça va être long, tu verras les vélos te dépasser tout au long de ton voyage, mais qu'une fois chacun.
Par DinkyBoy
En réponse à fedoismyname
(..)
près de 60 % des sondés, aussi bien dans la Drôme que dans l'Indre, se disent « prêts à utiliser régulièrement une navette autonome sur des trajets entre un et cinq kilomètres.
(..)
On aurait donc 60% de vieux dans les villes ?
Cabas à roulettes, poussettes... pour les courses et trimballer les petits existent depuis longtemps.
Si les gens ne sont plus foutus de marcher pour faire quelques kilomètres, mais où va-t-on ?
Facile à dire quand on est en bonne santé, mais vous n'êtes pas seul sur Terre. Par contre avec 4 pontages difficile de dépasser 1km. Et des malades du cœur ou des poumons, sans parler des handicapés, il y en a des centaines de milliers en France.
Par manu.lille
En réponse à fedoismyname
(..)
près de 60 % des sondés, aussi bien dans la Drôme que dans l'Indre, se disent « prêts à utiliser régulièrement une navette autonome sur des trajets entre un et cinq kilomètres.
(..)
On aurait donc 60% de vieux dans les villes ?
Cabas à roulettes, poussettes... pour les courses et trimballer les petits existent depuis longtemps.
Si les gens ne sont plus foutus de marcher pour faire quelques kilomètres, mais où va-t-on ?
Avez vous déjà parcouru quelques km le long d'une départementale ?
Le long, parce que l'accotement est non stabilisé, avec un mélange d'herbe haute, de déchets divers et variés jetés par les automobilistes allant du paquet de clopes vide aux bouteilles en plastiques pleines d'un liquide douteux, sans oublier les sacs issus d'un "restaurant" clownesque bien connu et pas totalement démonté.
donc vous ne pouvez pas marcher le long de ces voies, surtout qu'au moindre croisement vous êtes à la merci d'un conducteur au téléphone ou ayant consommé un psychotrope quelconque et qui ne vérifiera pas s'il y a un piéton inattendu qui cherche à traverser.
Par gordini12
En réponse à manu.lille
Avez vous déjà parcouru quelques km le long d'une départementale ?
Le long, parce que l'accotement est non stabilisé, avec un mélange d'herbe haute, de déchets divers et variés jetés par les automobilistes allant du paquet de clopes vide aux bouteilles en plastiques pleines d'un liquide douteux, sans oublier les sacs issus d'un "restaurant" clownesque bien connu et pas totalement démonté.
donc vous ne pouvez pas marcher le long de ces voies, surtout qu'au moindre croisement vous êtes à la merci d'un conducteur au téléphone ou ayant consommé un psychotrope quelconque et qui ne vérifiera pas s'il y a un piéton inattendu qui cherche à traverser.
Tout à fait d'accord, notre territoire, n'est pas vraiment aménagé pour circuler à pied ou vélo.
Même si l'on est dans son bon droit, j'évite certaines situations. Il faut être un bobo urbain pour ne pas prendre conscience que les déplacements ne se limitent pas aux TEC et marche à pied. Notre société est organisée avec des déplacements automobiles ou individuels. Les gens se contentaient d'une maison de ville de 40 m2 pour vivre à 4, dans un passé pas si vieux. L'individualisme a réduit les possibilités de vivre frugalement. Les gens se sont organisés en conséquence. Pour celui qui travaille en horaires décalés, je n'imagine pas la vie dans certains collectifs. Cest aussi cela qui pousse les gens vers la campagne. Ensuite il faut organiser la mobilité. On ne reviendra pas d'un coup de baguette magique à un mode de vie passé, ou sans cela, je veux d'abord voir nnos élus montrer l'exemple !
Par icare 27
la bétise n'a jamais de limite !
SPONSORISE