Le blason BMW est attaqué sur son flanc par les Autrichiens KTM qui annexeraient bien quelques clients de R1200GS Adventure avec une autre Adventure devenue Super en restant 1290. Pour autant, il ne se met pas sur la défensive et ouvre même un autre front en lançant une offensive contre la Multistrada de l'Italien Ducati.
Toute l'actualité De 701 à 1200 cm3
On vous l'annonçait ici cette Vuiton de la moto, cette fragrance d'essence que l'on subodore de Dior au vu d'un ensemble digne d'Yves Saint Laurent. A ces noms il faut maintenant ajouter celui de Midual qui a prouvé dans un salon pour hédonistes du côte de Pebble Beach que la moto pouvait être aussi un produit de luxe.
Inconditionnels des roadsters velus que l'on appelle aussi chez certains du nom évocateur de « Streetfighter » soyez heureux. Voici un nouveau monstre à vous mettre sous la dent, et elle nous vient d'Amérique avec un soutien indien. Son blason est un trigramme, EBR, qui fait renaître de ses cendres le nom de Buell.
Du côté de Sturgis, le constructeur Indian n'est pas seulement venu avec une nouvelle Scout. Le chef emplumé a aussi débarqué avec un concept déjà dérivé de la dernière née, manière d'ancrer son caractère différent du reste de la famille. Comme base, la marque a choisi le thème de l'effrayante attraction de foire justement appelée le « mur de la mort ».
C'est parti pour nous sensibiliser sur le futur opus de Suzuki de la rentrée. Une GSX-R 1000 devenue GSX-S 1000 pour entrer dans la catégorie des roadsters. Hier, la photo était lointaine. Aujourd'hui, l'effet de surprise n'y est plus. On prend la pause. Le prélude à une arrivée imminente.
Cette fois le doute n'est plus permis. Comme BMW qui a fait de sa S 1000RR une S 1000R ou encore Aprilia qui a fait de sa RSV4 une Tuono, liste loin d'être exhaustive, Suzuki sort une GSX/S1000 sur la base de son incontournable GSX/R. Nul doute que ça va causer.
Décidément, la rentrée sera chaude chez des constructeurs qui ne perdent pas le moral malgré la conjoncture. On sait que les gammes cubant moins de 500cc vont tenir l'actualité tandis que de l'autre côte du spectre du marché, les 1 000 sportives et autres trails ostentatoires vont crever l'écran.
Elles seront deux et elles ne seront pas contentes. Un duo d'énervées de s'être vues ainsi pratiquement damer le pion par des Européennes qui n'étaient rien au moment de la sortie originelle des missiles de la route. Yamaha a mis du temps à comprendre mais la leçon semble avoir été assimilée.
C'est nouveau et c'est intéressant. Une autre façon d'aborder le produit. C'est le côté artistique qui sert de support à la proposition. Chez Yamaha, on joue la culture nippone du Manga pour nous éclairer sur le côté sombre du Japon. Chez les Italiens, et particulièrement chez Ducati on la joue Wallace et Gromit avec un soupçon d'Alinea.
Termignoni propose désormais un (ou plutôt deux) silencieux pour le plus velu des Z, façon dernière version. Le spécialiste italien de l'échappement, Termignoni, propose un silencieux composé d'une structure en inox dont vous pourrez choisir la finition finale entre l'inox, le titane ou le carbone.