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En Norvège, les marques chinoises sont déjà à 10 % de parts de marché

La Norvège est devenue la porte d'entrée de certains constructeurs chinois ayant des envies d'Europe. Leurs produits électriques bon marché ont d'ailleurs rapidement performé, puisque les marques de l'Empire du milieu représentent déjà 10 % du marché total norvégien !

En Norvège, les marques chinoises sont déjà à 10 % de parts de marché

La Chine opère finalement assez discrètement, mais elle fait petit à petit son nid. Déjà largement présente en Afrique dans de nombreux secteurs, la Chine a de grandes vélléités pour l'Europe, dans un contexte favorable puisque le gouvernement chinois encourage fortement les grandes entreprises nationales à s'exporter. Mais ce n'est pas une mince affaire dans un domaine tel que l'automobile, qui plus est en Europe face à des constructeurs très établis et des clients plutôt conservateurs dans leur choix.

Pourtant, les récents chiffres du marché norvégien démontrent que les Chinois ont eu raison de s'attaquer à l'Europe. Nio, Aiways ou encore Xpang sont rapidement monté en puissance, au point d'atteindre les 10 % de parts de marché chez les électriques. Un peu plus de 4400 voitures électriques chinoises ont été livrées en Norvège depuis le début d'année.

Cela s'explique évidemment par des politiques tarifaires très agressives dans un marché où la demande de véhicules électriques reste soutenue, et encouragée par un Etat qui impose une très lourde fiscalité sur les moteurs à combustion. Une forme d'incitation indirecte à se tourner vers l'électrique qui fait au final le bonheur des marques chinoises, lesquelles font ainsi de la Norvège leur base principale en Europe avant une plus grande expansion sur le Vieux Continent. Au salon de Munich, de nouveaux acteurs chinois vont faire leur apparition en Europe avec Great Wall Motors et les marques Wey/Ora.

Rappelons qu'en France, les Chinois se montrent de plus en plus offensifs : MG (qui appartient à SAIC) ou encore Aiways lancent des véhicules électrifiés sans pour autant disposer de réseau de distribution. Mais avec l'électrique, ce n'est plus un problème puisque les entretiens sont quasiment inexistants. Il suffit alors de nouer un partenariat avec un acteur national de l'après-vente, de livrer les véhicules dans des points précis (voire à domicile), et le tour est presque joué.

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