Essai Kymco G-Dink 125 cm3 : un style GT urbain
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La marque taïwanaise Kymco occupe une place d'outsider sur le segment des scooters en général, que ce soit avec l'Agility dans la catégorie des petits véhicules urbains, ou bien avec le Dink Street 125 en GT. En 2011, ce dernier s'est hissé à la onzième place des ventes scooters avec 1703 unités vendues sur l'année. Il faut dire que l'entité asiatique propose aujourd'hui des produits qualitatifs et un SAV de plus en plus performant. Lors du dernier salon de Milan, Kymco a été très actif avec de nombreuses nouveautés présentées allant du K-Pipe (cyclomoteur 50) jusqu'au Myroad 700. En attendant le printemps pour voir évoluer ses nouveaux modèles, Kymco commercialise depuis le mois de janvier le G-Dink 125 cm3, un GT compact prêt à se frotter à la concurrence emmenée par les Peugeot Citystar et Sym Joyride Evo.
Décliné aussi en 300 cm3, le G-Dink 125 cm3 fait donc figure de petit nouveau au sein d'une gamme comprenant pas moins d'une quinzaine de véhicules (cette liste ne comprend pas l'intégralité des millésimes 2012). Il s'intercale entre le Dink Street et le Grand Dink. Que les nostalgiques et les amateurs du Grand Dink se rassurent, le GT de Taiwan au dessin atypique, équipé d'une paire de rétroviseurs électriques, et qui fit les beaux jours de la marque au début du 21ème siècle restera au catalogue au prix de 2499 €. Toutefois, la version commercialisée du Grand Dink reprend des rétroviseurs réglables manuellement. Plus sophistiqué que son frère, le G-Dink compte faire valoir ses atouts pour se frayer un chemin dans cette catégorie…Essai !
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