2. Essai - Yamaha X-Max 125 Iron Max : la classe affaire
Sous le cadre, on retrouve la motorisation 4 soupapes à refroidissement liquide, développée par Minarelli (filiale de Yamaha). Elle délivre une puissance maximale proche des 15 chevaux (14,3 chevaux pour être précis) alimentée par l’injection. A l’usage, ce bloc répond promptement dès sollicitation de la poignée d’accélérateur.avec des reprises linéaires constatées à 80 km/h. Sur les voies rapides, l’aiguille monte lentement pour atteindre une vitesse de pointe de 125 km/h compteur. Yamaha annonce une consommation de 2,7 l/100 km, lors de notre essai réalisé sur un parcours mixte, nous avons pas pu descendre sous la barre des 3 l/100 (l’ordinateur de bord a oscillé entre 2,9 et 3 litres/100 km).
La série Iron Max reprend également l’intégralité de la partie technique du modèle d’origine : la suspension avant dispose d’une fourche double té type moto associée à la rigidité du châssis apportent un comportement dynamique facile, précis avec des changements d’angles vifs. Et ce, malgré un poids conséquent de 175 kilos. En parallèle, le X-Max bénéficie d’assistances à la sécurité comme le freinage ABS. l’ensemble diffuse une puissance progressive et difficile à déclencher. Mais ce n’est pas tout car le pilote profite du Traction Control de série. Pertinent sur les versions 300 et 400 cm3 où le risque de perte d’adhérence est accru, son usage paraît limité sur la moyenne cylindrée mais il pourra être un atout non négligeable en cas de conditions météorologiques difficiles. Déconnectable au commode droit, il est réglé par défaut sur le mode ON. Difficile toutefois de mettre en défaut mais il n’est pas impossible de le déclencher sur les routes pavées.
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