Le TT vient de souffler sa vingtième bougie et, pour fêter son anniversaire mais aussi les 600 000 unités écoulées depuis sa naissance, Audi offre à la troisième génération de son coupé un petit rafraîchissement de milieu de carrière aussi esthétique que mécanique. Et pour l'essayer, nous avons franchi la frontière allemande pour profiter des fantastiques routes de la Forêt Noire et des autoroutes sans limitation de vitesse.
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Alors que beaucoup de constructeurs appliquent la politique du downsizing, Audi va à contre-courant avec un V10 sur sa R8 mais également un 5 cylindres sur les RS3 et TT RS. À tort ou à raison ? C’est ce que nous allons voir en confiant à Soheil Ayari, la déclinaison la plus sportive du TT.
A ceux à qui les 340 ch de la virulente Audi TT RS ne suffiraient pas, le constructeur allemand répond par une version encore plus radicale : le TT RS Plus. Une sorte de chant du cygne avant un renouvellement programmé l’an prochain.
L’Audi TT de deuxième génération apparu en 2006 a marqué une étape importante pour Audi. C’était alors le premier modèle à véritablement séduire les amateurs de conduite exigeants qui jusque là ne s’y retrouvaient pas dans la gamme du constructeur d’Ingolstadt. À l’heure du restylage, Audi aurait pu être timide et se contenter de dépoussiérer gentiment un produit qui marche, ça n’est pas le cas. Du changement, il y en a mais ça ne se voit pas tout de suite !
Un an après le TTS Quattro 272 ch, coupé et découvrable TT ont droit à un noble 5 cylindres de 340 chevaux et suralimentation oblige, à un couple pharaonique de 450 Nm. Petite virée Outre-Rhin afin de vérifier si le châssis du roadster supporte une telle cavalerie.
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