S'adapter ou mourir, c'est ce que doivent faire de nombreux constructeurs automobiles bien établis mais aussi les quelques artisans automobiles ayant survécu jusqu'à aujourd'hui en se lançant dans l'électrification de ses modèles. Parmi ces derniers, l'allemand Wiesmann renaît de ses cendres et a de grandes ambitions dans le domaine.
Hyvia, coentreprise Renault, inaugure une ligne d’assemblage de piles à combustible au sein de la Refactory, située dans l’usine de Flins (78). Cette technologie alimentera le futur Renault Master.
Concurrencer Tesla, voici ce que souhaite Carlos Tavares, le patron du groupe Stellantis. Une ambition affichée pour le quatrième constructeur mondial qui souhaite ainsi fair de l'ombre à la marqur d'Elon Musk.
La SNCF dévoile Flexy, une navette mixte rail/route dont les premiers exemplaires seront expérimentés en 2024.
Il pourrait y avoir une très forte affluence dans les centres de contrôle technique au printemps, une conséquence des effets du premier confinement en 2020.
Il y a peu, les énormes jantes, les rétros-caméras ou les poignées cachées étaient des artifices de concepts. Mais les voici désormais courants sur des véhicules de série.
Le marché du véhicule électrique (VE) a déjà plus que doublé entre 2020 et 2021 (+ 108 %). Mais ce n'est pas fini manifestement. Avec le dynamisme du marché chinois, de Tesla et du groupe Volkswagen, il pourrait encore croître de 70 % en 2022. Ce sont les prévisions du cabinet Jato Dynamics, spécialisé dans les marchés automobiles.
La guerre de Londres contre l'automobile ne fait que se développer. Après avoir instauré un péage en 2003 un péage urbain dont le tarif n'a cessé de croître, la mairie de la capitale londonienne franchit un nouveau cap en élargissant la zone de faible émission à l'ensemble du territoire de la capitale londonienne.
Parmi les très nombreuses annonces faites par Carlos Tavares la semaine dernière se cachait une nouvelle dont on ne sait pas encore trop que faire. Selon le patron de Stellantis, la muscle-car électrique de Dodge va faire un bruit « incroyable ».
Sur fond d'aggravation du conflit en Ukraine, le prix du baril de Brent s'approche de son record absolu datant de la crise de 2008, à savoir 140 dollars.