3. Les prix : premium également
Les véhicules premium décotent traditionnellement moins vite que les généralistes. Quand ces derniers perdent 15 % en 6 mois et 25 % en un an, les premiers sont plutôt à - 12 % à 6 mois et - 18 % en un an. La Giulia devrait se calquer sur ces valeurs.
Mais la belle italienne semble dans les faits décoter encore moins, surtout en essence. En effet, si les meilleures offres se situent en effet autour de -12 %, la moyenne est plutôt de - 9 %, si l'on tient compte de quelques options souscrites par les acheteurs. Peut-être un peu plus malgré tout, car il est impossible de connaître pour chaque modèle le montant des options souscrites.
En diesel, les décotes sont plus prononcées, du fait d'une plus grande concurrence entre vendeurs. Les meilleures sont à - 14 %, mais la moyenne de décote reste inférieure à l'accoutumée, avec - 10 %. Même pour une auto premium, et avec peu de kilomètres au compteur, c'est faible. Et cela démontre clairement l'attrait pour ce modèle. Les vendeurs peuvent donc se permettre d'être un peu gourmands.
A noter qu'il n'existe aucune différence flagrante selon le support de vente, que ce soit les sites spécialisés, ou le site dédié aux occasions de la marque.
Sachant cela, penchez-vous également sur les offres des mandataires. Si certains ne font pas forcément mieux, preuve encore une fois que le modèle ne se brade pas, d'autres arrivent à afficher des tarifs intéressants, sur des voitures pour le coup neuves et n'ayant jamais roulé. Les remises vont de - 9 % à - 14,5 %, pour des autos de provenance hexagonale. Encore une fois donc, pas inutile d'aller jeter un œil à leurs propositions, sauf à être 100 % allergique à cette filière.
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