
Il est définitivement moins facile de vouloir courir en mondial Superbike avec une RSV4 qu'avec une S 1000RR. Alors que la teutone est a priori moins attirante que l'Italienne du point de vue du chronomètre et alors qu'il y a peu, on pensait voir les teams s'arracher le missile de Noale, c'est bel et bien la Munichoise qui égayera le paddock cette saison.