Voilà une étude intéressante du média consumer reports qui révèle certes quelques bonnes vérités mais qui met aussi à jour le caractère bien trempé d'un motard qui écoute son cœur avant de se ranger à la raison. Il s'agit d'une enquête sur les thèmes de la fiabilité et de la fidélité des motos que les constructeurs proposent.
Présentée sur notre site la semaine dernière, la vente aux enchères organisée par Osenat a tenu toutes ses promesses puisque la totalité des motos proposées a changé de main. Commençons par celle que nous annoncions comme étant une des vedettes de la vente de par son pédigrée, à savoir la Honda CB 750 C ex-Coluche.
Si vous ne connaissez pas l'Interbrand 100, sachez qu'il est aux entreprises ce que Forbes est aux célébrités et nantis de ce monde. Une hiérarchie basée sur la richesse, mais cette fois des entreprises, dont le critère pour en être est la profitabilité.
Une nouvelle vente aux enchères vous attend ce dimanche 17 mars à partir de 14 heures 30 au numéro 5 de la rue Royal à Fontainebleau (77). En premier lieu, voyons quelques lots ayant un intérêt pour notre passion. Coté littérature, il y a tout d'abord les treize premières années de "La France Automobile", soit de 1896 à 1908.
Avant de partager, du côté de Rome, le gâteau, voici le drapeau d'anniversaire qu'il faudra sans aucun doute arborer au moment de défiler dans la cité papale actuellement en plein boulot. Alors que l'on attend une fumée banche du Vatican, signe de Pape, on n'espérera aucune fumée grise au moment de la célébration mécanique, puisqu'il s'agirait là de soupape.
On connaissait l'opus en version CVO qui ne fait pas dans la dentelle côté tarif mais dans le détail dans le domaine de la finition. La voici cette fois moins ostentatoire mais tout aussi statutaire. Cette Softail Breakout ne se donne pas pour autant puisqu'elle se négociera à la frontière des 21 000€.
Comme Husqvarna, la dame de Milwaukee a ses 110 ans. Elle fêtera fin août et début septembre, à Rome et ailleurs, ce cap symbolique avec plus d'ostentation que sa voisine de génération d'origine suédoise. Démonstration faite avec cette pluie de séries limitées qui semblent confirmer l'idée que chez Harley-Davidson, l'exception devient la règle.
Et voilà encore l'Inde qui se distingue à rendre dingue tous les décideurs des constructeurs de nos deux roues favoris. Cette fois, c'est le monument Harley-Davidson, le chantre du « made in USA » le rejeton d'une dame de Milwaukee qui fête ses 110 ans qui franchi le Rubicon.
Pour ses 110 ans, Harley-Davidson a décidé de mettre à l'honneur ses Sportster qui se voient affubés de trois nouveaux modèles.
Harley-Davidson aime peut être se donner des airs de rebelle tranquille à sa clientèle, mais pour les ouvriers, c'est la stricte jugulaire qui est décrété. C'est du moins ce qui ressort du dernier mémo affiché sur les sites de production qui donne une nouvelle preuve qu'il existe toujours une frontière entre le fantasme et la réalité.
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