Même « punition » pour les mecs avec le pendentif argent Suzuki. Mais, les gars auront aussi droit à des montres plus ou moins « Suzuki-risées ». Pour commencer les hostilités, cette montre chronomètre avec mouvement quartz Miyota 0S10.
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Tenir les rênes du Moto GP n'est décidément pas chose facile. Les équilibres y sont précaires et les acteurs majeurs assez instables si bien que parfois, le bon sens n'est pas tout à fait l'élément majeur pris dans l'équation d'une gestion soumise aux humeurs des états-majors des constructeurs.
Sixième chrono absolu pour Capirossi, et le dix septième et dernier des titulaires à la saison pour le débutant Bautista, les troupes Suzuki se retirent des deux jours passés à Sepang avec le sentiment du devoir accompli.
Plus sport GT que sportive pure, la dernière des GSX-R n'en est pas moins une sportive de référence depuis un quart de siècle maintenant. Véritable vitrine technologique pour son constructeur, il ne faut pas oublier qu'un peu de piment ne peut lui faire de mal.
La société Putoline Oil, un fabriquant d'huile hollandais, bien connu dans le monde de la moto, vient de s'associer avec Suzuki et Fast Eddy pour créer un team sur le championnat du monde d'enduro, le WEC. Cette collaboration avait déjà commencé il y a une bonne dizaine d'années pour promouvoir l'enduro en Grande-Bretagne.
Loris Capirossi a dû tomber dans la fontaine de jouvence lorsqu'il était petit. Deux décennies de compétition à haut niveau ne l'ont en effet pas le moins du monde érodé, au point qu'à la veille de reprendre le collier sur le tracé de Sepang, il n'a rien d'un blasé.
Si l'ouverture du championnat du monde d'enduro est encore loin, les 10 et 11 avril en Espagne, c'est avec plaisir que l'on voit Suzuki s'investir un peu sur le WEC. L'importateur Espagnol avec son Team KST Suzuki part pour la saison complète. Equipé de la nouvelle 450 RMZ, Joan Barreda s'alignera en E 2.
Ce n'est pas encore tout à faire la rentrée du Moto GP, qui aura lieu véritablement demain, mais plutôt une dernière vérification sur les machines officielles avant de les soumettre à la dextérité des pilotes titulaires.
Plutôt qu'un projet Moto GP nébuleux avec une moto à trois cylindres que l'on aimerait voir tourner pour être réellement fixé sur les intentions de FB Corse, John Hopkins a donc choisi le concret en signant pour un programme en AMA Superbike sur une GSX/R éprouvée.
En tête durant la moitié de la course et comptant jusqu'à 9 secondes d'avance sur Ryan Villopoto, Ryan Dungey a lourdement chuté ce week-end à San Francisco. Très solide depuis le début du championnat, Dungey a montré une petite faille du, certainement, à son manque d'expérience dans la catégorie.
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