
Retrouver, au calendrier des Grands Prix, un tracé de Suzuka au nom de la sécurité des pilotes, alors qu'il n'est plus homologué pour les courses de la Dorna depuis l'accident mortel de Daijiro Kato qui avait fini par persuader que les mêmes pilotes y prenaient trop de risques, voilà le genre de paradoxe que l'on rencontre, à présent, dans le débat qui agite le paddock sur le maintien du Grand Prix du Japon.