Toyota C-HR 2024: nos premières impressions en direct vidéo
Alexandre Bataille , mis à jour
La première génération de C-HR a connu un succès fulgurant en Europe et notamment en France où elle a séduit plus de 100 000 clients. Retrouvez-nous ce lundi pour découvrir en live la nouvelle génération.
Toyota pousse le curseur de l’originalité encore plus loin avec la seconde génération de C-HR. Le SUV « coupé » adopte un style proche d’un concept-car : museau de requin, optiques à double étage, et formes géométriques. L’ensemble est mis en valeur par une carrosserie contrastée.
Les places arrière ne sont pas le point fort du C-HR 2, comme constaté lors du dernier salon de Lyon. Le volume de coffre est également dans la moyenne basse. Ce dernier oscille entre 310 et 388 litres.
Cette seconde génération proposera de l'hybride simple, avec 2 niveaux de puissance : un 1.8 de 140 ch, et un 2.0 de 198 ch. Il sera aussi désormais proposé, et c'est nouveau, en hybride rechargeable. Il reprendra le système de la Prius, soit un 2.0 de 152 ch épaulé par un moteur électrique de 163 ch, pour une puissance cumulée de 223 ch. La batterie de 13,6 kWh permettra une autonomie en 100 % électrique de 66 km en cycle mixte WLTP.
Autre nouveauté, l'hybride 2.0 198 ch pourra être choisi en transmission 4x4. Un second moteur électrique de 41 ch se chargeant d'entraîner les roues arrière, sans modifier d'ailleurs la puissance globale.
Les tarifs grimpent d’en moyenne 5 000 € par rapport à l’actuelle génération et débutent à 34 900 € pour l'hybride simple de 140 ch. La version hybride rechargeable n’y va pas de main morte avec un prix de départ à 45 000 €. Retrouvez nous dès ce lundi pour découvrir en live le nouveau Toyota C-HR.
Premières impressions de conduite
Nous avons pris en mains la version qui sera la plus vendue en France, à savoir le CH-R 1.8 HEV de 140 ch. La recette de l’hybride évolue mais la base reste la même. A savoir un moteur atmosphérique (à cycle Atkinson, particulièrement adapté à l’hybride) associé à un électromoteur, le tout étant orchestré par une boîte à variation continue « e-CVT », fiable, économe mais imposant une conduite souple et sans gaspillage. L’effet «patinage dans la semoule » dans les fortes montées en régime est toujours présent mais il faut reconnaître les énormes efforts fournis par Toyota pour amoindrir le phénomène.
Niveau sensations, en revanche, le conducteur n’aura pas réellement l’impression d’avoir 140 ch à disposition sous le pied droit. Toutefois les accélérations sont rassurantes en cas de besoin. On constate que Toyota maîtrise totalement cette technologie avec des niveaux de consommations qui font le chemin inverse du niveau de puissance. Nous avons relevé une moyenne de 5,2 l/100 km sur notre parcours composé, il est vrai en grande partie d'axes secondaires et de ville. Un terrain de jeu favorable au C-HR.
Les réglages ont toutefois été revus dans le sens d’un plus grand dynamisme, nous a-t-on dit. Ce n’est pas la révolution mais on constate des progrès au niveau de la tenue de route et surtout du confort. Premièrement la direction remonte davantage d’informations. En suite l’amortissement se veut plus indulgent avec les passagers sans pénaliser pour autant le maintien de caisse. Sur autoroute le C-HR progresse également. Les bruits, qu’ils proviennent des roues ou de la carrosserie, sont rares et bien maîtrisés.
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