4. Skoda Kodiaq (2024) – La concurrence, le bilan global, tous les tarifs

La concurrence : attaqué de tous bords

Depuis l’arrêt du Seat Tarraco, le Kodiaq ne se connaît qu’un seul rival direct au sein du groupe Volkswagen, le Tiguan Allspace, qui vit ses derniers mois. Les marques généralistes ne manquent pas ailleurs pas d’offre sur ce segment des SUV familiaux. Mais si l’on prend en compte le critère moteur Diesel de 150 ch, on n’y trouve plus que les Mazda CX-5 (150 ch, à partir de 41 100 €) et Peugeot 5008 (130 ch, à partir de 43 070 €). En revanche, les labels premium sont davantage présents sur ce créneau : Audi Q5 (163 ch, à partir de 57 100 €), BMW X3 (150 ch, à partir de 54 900 €), Jaguar F-Pace (200 ch, à partir de 69 300 €), Mercedes GLC (197 ch, à partir de 63 500 €) ou encore Range Rover Velar (200 ch, à partir de 70 500 €). À noter, toutefois, que, hormis le Peugeot, aucun ne propose de 3^e rangée de sièges.

À retenir : tout pour réussir

Si l’on fait exception de l’habitabilité et du volume de chargement, le nouveau Kodiaq n’excelle dans aucun domaine. Mais il affiche tout de même de bons résultats dans chacun d’entre eux. Entre l’image de Skoda qui s’améliore rapidement dans notre pays et le fait qu’il soit l’une des offres en Diesel de sa catégorie, il paraît donc parfaitement armé pour devenir, comme son prédécesseur, un succès commercial. Attention, toutefois, à ne pas être trop gourmand sur le plan tarifaire.

Caradisiac a aimé :

• L’espace aux places arrière

• Le volume de chargement, supérieur à celui de tous ses rivaux

• Le confort de suspension, même avec l’amortissement de série

• La présentation intérieure modernisée

• La sobriété du 2.0 TDI 150 ch

• Le comportement routier, neutre et sécurisant

Caradisiac n’a pas aimé :

• Les accélérations et reprises, pénalisées par la mollesse de la DSG

• Le manque de ressenti de la direction

• La politique de la finition unique

• Quelques détails de finition