2. Sur route : dans la moyenne
Le catalogue de motorisation s’étale entre 115 et 141 ch en essence et diesel avec la possibilité d’opter pour une boîte à double embrayage (DCT7) sur la version la plus puissante. C’est au volant d’une version diesel de 115 ch que nous avons réalisé cet essai. Le 4 cylindres ne fait pas du Carens un foudre de guerre mais il se montre volontaire en accélérations et en reprises. Il présente aussi une soif maîtrisée pour la catégorie, avec une moyenne de 6,1l/100 km relevée durant notre essai. En revanche, une fois chargé en hommes et bagages (situation non testée) il risque de montrer rapidement ses limites. Vous aurez alors le loisir de vous orienter vers son grand frère de 141 ch, qui, lui, peut bénéficier d’une boîte à double embrayage. Enfin, c’est surtout son caractère docile et son silence de fonctionnement en ville que nous avons appréciés.
Pas d’évolution en matière de châssis. Le Carens offre un comportement routier tout ce qu’il y a de plus lambda. Ce n’est pas le meilleur de sa catégorie, ni le plus mauvais. Le dynamisme est desservi par une direction au ressenti très artificiel et le confort par un amortissement parfois sec en détente. Mais dans l’ensemble, ses prestations restent très correctes pour les prix pratiqués avec un bon niveau de sécurité active renforcé par l’arrivée d’une surveillance des angles morts, de l'alerte de trafic arrière et de la reconnaissance des panneaux de signalisation.
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