2. Sur route : du progrès
Le break reconduit toutes les motorisations de la berline. A savoir deux blocs essence, un 3 cylindres 1.0 T-GDI de 120 ch et un 4 cylindres 1.4 T-GDI de 140 ch, et deux diesels, le 1.6 CRDi 110 et 136 ch, toutes les motorisations à l'exception du 3 cylindres pouvant être associées à une boîte de vitesses double embrayage à sept rapports.
Nous avons réalisé notre essai au volant d’une version 1.6 CRDi de 136 ch. Un moteur tout ce qu’il y a de plus rationnel. Il est discret, sobre (6,0 l/100 km relevés durant notre essai) et fidèle au niveau de puissance affiché sur le papier. Ni plus, ni moins. Son mariage avec la boîte à double embrayage fait grimper le niveau de confort du véhicule de façon significative. Cette dernière est fluide, douce mais un poil feinéante lorsqu’il s’agit de travailler dans les tours.
À la conduite, le break est strictement identique à la berline. Autrement dit, en gros progrès. La nouvelle plateforme a été allégée (1 415 kg pour cette version), rigidifiée et bénéficie désormais d’un train arrière multibras. Sur la route, ces améliorations se traduisent par une plus grande homogénéité : confort, stabilité et dynamisme, tous ces facteurs progressent de manière significative mais pas suffisamment pour se forger une véritable personnalité. La direction, annoncée retravaillée par Hyundai, est par exemple toujours aussi artificielle et le train avant manque de mordant par rapport à une Peugeot 308, qui pour nous reste la référence des compactes à l’heure actuelle.
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