A la suite d'une soirée chez des amis, ce Breton a dû faire un choix un peu difficile pour rentrer chez lui. Son entourage lui ayant subtilisé ses clés de voiture pour ne pas qu'il prenne le volant trop alcoolisé, il décida alors de voler un véhicule un peu particulier pour retourner au bercail.
À Pau, un conducteur fortement alcoolisé s'est garé devant le commissariat. Lorsque les policiers sont venus le déloger, il a demandé à aller en prison !
Le soir du réveillon du jour de l'an approche et nombreux sont ceux qui iront passer cette soirée en famille ou entre amis, souvent à l'extérieur. Une enquête de deux associations de la prévention et sécurité routière montre que seulement quatre Français sur 10 ont prévu de réelles solutions de retour après avoir bu. Les autres ont des idées, mais pas toujours bien sérieuses.
L'institut de sondage Ifop a récemment mené une étude auprès d'un échantillon de personnes utilisant un véhicule dans le cadre de déplacements professionnels. Globalement, leur comportement correspond à celui du Français moyen au volant, mais il ressort tout de même des chiffres étonnants, comme sur l'alcool, les médicaments ou encore le téléphone.
Au premier abord, nous pourrions croire à une grosse blague, à un fait divers inventé, mais il n'en est rien. Un conducteur russe en situation de demandeur d'asile a provoqué un accident du côté de Brest cette semaine. Unijambiste, il conduisait ivre et avait inventé un système avec un balais pour pouvoir conduire.
En France, comme dans d'autres pays, l'amende pour conduite en état d'ivresse est forfaitaire. Mais pas en Norvège, où elle dépend en partie des revenus du contrevenant. Une vérité qu'a découverte une riche héritière norvégienne sommée de régler la somme de 26 000 € pour un taux d'alcool de 0,63 g/L de sang.
Selon une étude publiée ce mardi par Axa Prévention, on se montre bien moins prudent au volant durant ses déplacements professionnels que lors de trajets privés.
Le sacre annoncé de la voiture autonome sur nos routes pourrait avoir d’étonnantes conséquences collatérales. Certains auraient ainsi de bonnes raisons d’arroser l’événement et se laisser porter par l’ivresse d’un tel succès. Et pour cause : les fabricants et vendeurs de boissons alcoolisées y trouveraient leur compte. Une évaluation faite par la banque Morgan Stanley. Pour elle, le fait de ne plus avoir à conduire soi-même pour rentrer, par exemple de soirée, devrait désinhiber les consommateurs d'alcool.
Boire ou conduire, cet automobiliste n'avait pas envie de choisir. Il a quand même osé dire aux policiers qu'il n'avait bu que deux bières !
Alors que les accidents de la route sont la première cause de mortalité chez les 18/24 ans, une étude montre que les jeunes ont encore de très mauvaises habitudes au volant.