C’est le signe d’une époque. Un progrès qui devient fléau lorsque l’addition prend le pas sur l’utilité. Il y a quelques années, rouler en voiture, c’était se concentrer sur un châssis, des rapports de boîte, une valeur de couple et la mélodie d’une mécanique. Aujourd’hui, c’est prolonger son environnement multimédia et en fait de symphonie à pistons, on préfère tout simplement sa musique. Au moment où la transhumance estivale a court, avec ses parcours à longue distance, ce que l’on appelle « l’infodivertissement » va s’imposer dans les habitacles. Ludique, mais pas sans danger.