La lutte contre l’insécurité routière, le combat contre la mortalité sur nos axes par le moyen de l’arme de destruction massive des permis de conduire ont besoin de symboles forts. Car il faut légitimer l’action, celle-là même que les indicateurs ont tendance à démontrer qu’elle fait passer à la trappe et au tiroir-caisse d’abord l’immense majorité des usagers de la route qui ne dépasse pas la vitesse autorisée de plus de 10 km/h. Mais ils sont aussi de bons contribuables honnêtes et faciles à retrouver. Comme Christophe Dechavanne d’ailleurs qui, cependant, est un personnage médiatique qui a eu le pied très lourd sur l’A71. Le voilà cloué au pilori.
L’initiative a été mise en exergue par un maire de Valence dans la Drôme et depuis, elle est devenue comme le cheval de bataille d’une ministre de l’Ecologie qui pourrait bien faire une pierre deux coups : réconcilier les verts avec un gouvernement qui retrouverait aussi un peu de sympathie auprès d’un courant de la sécurité routière obnubilé par la baisse de la vitesse autorisée sur les axes routiers. Voici le sujet dont les automobilistes et autres usagers n’ont pas fini d’entendre parler : la vitesse de circulation sur les portions d'autoroutes traversant les villes réduite à 90 km/h.
L’arrivée programmée de la voiture autonome est une réalité. Pas mal de pays ont déjà décidé de préparer le terrain à cette circulation d’un nouveau genre qui va engendrer un automobiliste nouveau. La Grande- Bretagne met ainsi au point un guide de bonne conduite qui pourrait bien être le départ d’une législation à construire. L’Allemagne réserve certaines voies de ses autoroutes à ces véhicules si particuliers qui ont déjà le champ libre dans certains Etats de l’autre côté de l’Atlantique. Et la France ? Elle y vient.
Le week-end du 15 août est traditionnellement chargé sur les routes et les autoroutes de France et de Navarre. Y compris en Alsace, où le trafic y a été tel que l’on a même trouvé un cycliste arpentant le grand ruban. En l’occurrence, l’A35, où un enfant de 12 ans avait décidé d’y pédaler à l’heure du déjeuner pour rejoindre une connaissance habitant 14 kms plus loin. Un périple que les forces de l’ordre ont interrompu avant terme.
Vous avez aimé l’idée de réduire la vitesse autorisée sur nos routes pour des raisons de sécurité routière ? Alors vous allez adorer le concept de ralentir fortement son allure sur autoroute pour des raisons écologiques. Rouler c’est décidément irresponsable mais ça reste une opportunité fiscale pour nos dirigeants et un tremplin politique pour nos élus. Voici l’initiative d’un maire de Valence qui a saisi la ministre de l'Écologie pour lui demander de limiter la vitesse à 90km/h sur la portion d'autoroute A7.
Si vous pensiez avoir tout vu avec la technologie des radars, attendez un peu de voir ce qu'est capable de faire ce radar dit « chantier », ou autonome, puisqu'il est possible de le tracter et le poser n'importe où. Il peut ainsi prendre place dans un terre plein central et flasher dans les deux sens, sur quatre voies simultanément. L'un des premiers exemplaires mis en place a flashé 2500 fois en 24 heures, soit deux fois par minute...
Le slow-travel vous connaissez ? Comme son nom l’indique exactement, il s’agit de voyager à son rythme et surtout sans se presser, sans regarder le délai pour rejoindre le lieu de villégiature. L’occasion de lever le nez, de s’arrêter sur le trajet pour profiter du paysage, s’imprégner des lieux et des gens. Une démarche et une philosophie qui sont plus que jamais d’actualité en cette période de transhumance et qui semblent de plus en plus partagées. Et si le voyage comptait plus que la destination ?
Amis Franciliens, vous faites partie de ceux qui payent les autoroutes les plus chères de France. Pire encore, la plus chère de France, et de loin, est l'A14 entre Paris la Défense et Orgeval affiche un tarif de 52 centimes au kilomètre, soit près de 4 fois plus chère que la deuxième portion la plus onéreuse de France.
Les vacances approchent et avec elles, arpenter les autoroutes pour aller vers son lieu de villégiature va être l'exercice incontournable. C'est payant, mais c'est aussi pratique et généralement plus sûr que la route secondaire. Pourtant, il ne faut pas trop enjoliver la réalité. Il faut y rester prudent car on y meurt comme ailleurs. Certains la prennent à contresens et les autorités ont créé un nouveau panneau pour diminuer ce risque. D'autres y tombent en panne et passent d'automobiliste à piéton. Un statut de tous les dangers sur le grand ruban.
Et les 25 meilleures routes du monde sont...
, mis à jour 21
Des scientifiques et experts ont mis au point une formule mathématique permettant de déterminer quelles étaient les meilleures routes du monde. Bonne nouvelle, les conducteurs européens sont les mieux lotis.