le petit coupé américain qui a servi au tournage de Wayne's World vient d'être vendu 71 500 euros aux enchères. Une drôle de voiture dans un drôle de film, énorme potacherie qui se moque de ses héros en particulier et du cinéma en général, à 100 lieues des films de James bond, malgré les gadgets cachés dans la Pacer.
Coup sur coup, le Coréen et le Japonais envahissent les grands écrans avec des opérations de placement de produits dans d'énormes productions américaines. Les jeunes ne viennent plus aux autos ? Alors les autos viennent aux jeunes, à travers les films qui leur sont destinés.
Ce film japonais, déjà récompensé à Cannes, est en lice pour la prochaine cérémonie des Cesar. Une Saab 900 y joue un rôle important.
Le salon de la capitale du Michigan sera de retour du 17 au 25 septembre prochain. Car Detroit la résiliente ne s’avoue jamais vaincue, malgré 50 ans de crises industrielles, raciales, sociales, financières et sanitaires. Portrait de Motortown à travers les films qui lui ont été consacrés. Car la cité a toujours fasciné les cinéastes.
Dans ce film réalisé par Bernard Campan et Alexandre Jollien, un corbillard Mercedes sert de décor principal, d’outil de travail et de lieu de rencontre aux deux personnages. Un film gentil, mais pas gentillet.
Entièrement tourné en caméra suggestive à la GoPro, ce film russo-américain est une drôle d'expérience cinématographique qui permet de se glisser dans la peau du héros. les cascades et les courses-poursuites s'enchaînent pendant 1 h 40, mais attention au palpitant. D'ailleurs ce long-métrage, lors de sa sortie en salle en 2016, était interdit aux moins de 16 ans.
Parmi les scènes sophistiquées signées Jean-Jacques Beineix, nous avons retenu les apparitions de la Ferrari 250 GT Spyder California.
Lorsque deux monstres du cinéma populaire français discutent de leur dernier film tourné ensemble, on les écoute. Et lorsque, dans la même conversation, ils parlent automobile, on prête l'oreille plus attentivement encore. Nous sommes en 1965, et Bourvil et de Funès évoquent le long-métrage de Gérard Oury qu'ils viennent d'achever, mais aussi quelques histoires de voitures, vraies ou pas.
Il n'a même pas été jugé digne de sortir en salles lors de sa sortie en 2004. Depuis, Ricky Bobby, le roi des circuits est devenu un film mythique pour les uns (dont quelques pilotes de F1), et nul pour les autres. Nous avons choisi notre camp : celui du culte.
Le long métrage d'Edgar Wright, sorti en salle en 2017 et disponible actuellement sur Netflix, cache derrière son scénario bateau un film parfaitement maîtrisé, des personnages bien traités et des comédiens époustouflants, en plus de ses courses-poursuites réjouissantes. Quatre bonnes raisons pour que tous ceux qui ont raté baby Driver au cinéma s'offrent une séance de rattrapage.