Laisser traîner ses affaires peut vous mettre dans l’embarras. C’est ce qui arrive à l’acteur Alain Delon dont la vie sulfureuse semblait appartenir à un passé révolu. Mais on a beau dire que l’on est rangé des voitures, celles-ci vous rattrapent lorsqu’elles se retrouvent garées au mauvais endroit. En effet, des voitures immatriculées au nom d'Alain Delon ont été retrouvées au domicile d'une figure du grand banditisme lors d'une perquisition.
La Chine est le premier marché mondial pour l’automobile, et c’est donc une contrée on ne peut plus stratégique pour ceux dont le cœur de métier est d’en vendre. Or, nos deux groupes français y partagent les mêmes déceptions tout en œuvrant avec le même allié local. Une situation pour le moins insatisfaisante qui devra changer d’ici cinq ans.
Cette semaine, c’est l’une des conséquences collatérales du fumant « Dieselgate » qui se joue du côté du Conseil européen. Une affaire qui a révélé à quel point la réglementation imposée sur les émissions polluantes restait le plus souvent lettre morte, après être passée par différents filtres chargés de donner des certificats d’homologation de complaisance. Jusqu’à vicier l’essence même des textes. Il faut donc revoir sa copie sur l’homologation. La France en est d’accord. Mais l’Allemagne, pas du tout.
La bosse reste l'outil privilégié des mairies pour faire ralentir les automobilistes et sécuriser des zones. Mais leur multiplication peut avoir des effets pervers. De plus, les ralentisseurs sont accusés de renforcer la pollution.
Envahie de camions, la N79 (qui permet de relier Mâcon à Montluçon) est un axe très dangereux. Un appel d’offres pour la transformer en autoroute vient d'être lancé. La mise en service est espérée pour 2021.
Le Salon de Shanghai bat son plein dans une Chine qui se réjouit d’être le premier marché automobile du monde tout en s’inquiétant de la pollution que ce statut engendre dans ses villes. Un casse-tête chinois que l’équipementier français Valeo se propose de résoudre en partie en proposant un filtre à particule que l’on peut carrément qualifier d’intelligent.
Au moment où le Salon de Shanghai s’éveille dans une Chine depuis longtemps sorti de son sommeil le patron du groupe automobile français PSA garde l’œil ouvert sur le résultat de ses troupes. Et il souhaiterait les sortir de leur léthargie. Un réveil en sursaut consécutif à cette déclaration de Carlos Tavares qui juge la situation de ses ventes dans l’empire du milieu comme quelque chose d’inacceptable.
Des opérations escargots sont prévues autour des grandes villes françaises, dès 7 heures du matin. Les patrons des auto-écoles protestent contre la possibilité de s'inscrire au permis sur Internet.
Pour le moment, ça passe encore inaperçu, mais à l’approche d’une échéance électorale majeure, ça pourrait revenir en une de l’actualité. Il s’agit du conflit qui se poursuit entre les chauffeurs de taxi et les tenants des voitures de transport avec chauffeurs. Dont le symbole est la société Uber. Au sein de cette nouvelle profession, il y a aussi des tensions. Et dans les deux cas, c’est l’État qui est cloué au pilori.
A dix jours du premier tour de l’élection présidentielle, Caradisiac a mandaté l’Institut Harris Interactive pour tenter de cerner l’identité « automobile » des électeurs français. Et si le goût pour tel ou tel type de voiture était avant tout une question politique ?