Dans un secteur parisien du transport à la personne déjà en ébullition, voici une nouvelle proposition qui sera une concurrence de plus à des taxis et autres chauffeurs VTC à couteaux tirés. Il s’agit du minibus autonome qui fait certes déjà son œuvre du côté de La Rochelle pour des petits trajets. Mais à Paris, on est plus ambitieux. On s’est même fixé une échéance : 2020. Ce qui est déjà demain.
Chose promise, chose due ! Renault avait annoncé il y a quelques jours de nouvelles embauches sur le territoire national en contrat de travail à durée indéterminée. Un besoin se chiffrant à 1 000 effectifs, un cap symbolique tandis que les comptes du losange confirment une santé retrouvée. Les premiers recrutements sont lancés puisque le constructeur tricolore recrute près de 400 CDI pour ses usines françaises.
Il y a quelques jours, Renault faisait sensation en promettant l’embauche de 1 000 salariés en CDI sur un territoire national sinistré dans le domaine de l’emploi. Une bonne nouvelle synonyme de bonne santé pour l’entreprise au losange. Aujourd’hui, on apprend que ce ne sera pas la seule entreprise tricolore à embaucher dans la même proportion. Ainsi, le manufacturier Michelin.
C’est une histoire qui se déroule du côté de Vaudeville, ce qui ne s’invente pas. Mais pour le coup, on parle d’une agglomération traversée par la RN57. Une route arpentée le 13 décembre 2014 à 2 h 22 du matin par un Nancéien de 35 ans dans le sens Epinal-Nancy. Limité à 110 km/h, l’axe, à cette hauteur, est surveillé par un radar. Ce dernier l’a repéré à 117 km/h. Un flash qui rayonnera jusqu’à Nicolas Sarkozy.
Le quotidien Le Figaro publie aujourd’hui son expertise sur le travail des radars en France. Et ce qu’il rapporte à la Sécurité routière. Une expression à prendre au sens propre comme au figuré. Au bilan, dans une conjoncture où l’on estime que les vitesses moyennes ont augmenté de 1 à 4 km/h selon les réseaux, le nombre d'automobilistes flashés en 2015 est resté stable par rapport à 2014. Il est aussi des endroits où l’on risque plus de se faire tirer le portait que d’autres. Le même Figaro a dressé une carte du pays pour nous éclairer.
Sachez-le, la famille des radars est prolifique. Une nouvelle progéniture est en effet arrivée dans ce qui se présente à présent comme une véritable dynastie. Du fixe au mobile en passant par ceux des feux rouges et même des leurres, on croyait la postérité largement assurée. Mais non, on en avait oublié un : le radar de Stop.
Le véhicule électrique est un engin abouti en mesure de remplir toutes les missions et les fonctions d’une voiture à moteur thermique. Le temps des engins lunaires aux performances de la marche à pieds est déjà loin. Cependant, pour que le courant passe encore un peu plus avec le marché, il faudrait permettre à ses automobiles d’allonger leur rayon d’action. Alors, pour qu’elles fassent plus de kilomètres, nos dirigeants veulent multiplier les bornes en prenant une batterie de mesures.
En 2014, 4.438 accidents corporels ont impliqué un cycliste et 159 cyclistes ont été tués. Un chiffre qui était en hausse de 8,2% par rapport à 2013. Des statistiques qui intègrent la globalité des indicateurs de la sécurité routière si bien que lorsque nos dirigeants déplorent le taux d’accidentalité sur nos axes au point de multiplier les radars sur le bord des chaussées, ces cyclistes entrent en ligne de compte. L’automobiliste doit-il trinquer alors que le cycliste pédale ? Le débat fait son chemin et certains se disent qu’il serait temps de s’occuper spécifiquement du cas des vélos en se penchant sur la sécurité passive de celles et ceux qui sont dessus. Ainsi le sénateur Hervé Maurey (UDI-UC) qui aimerait bien leur imposer l’obligation de porter du casque.
C’était promis depuis une réforme du permis de conduire décidée en juin 2014 : l’épreuve du code de la route devait être mise au goût du jour. Figé depuis 18 ans, cet examen au taux de réussite inférieur au baccalauréat puisque s’affichant à 71%, est maintenant plus en phase avec son temps. C’est du moins ce que le délégué interministériel à la sécurité routière Emmanuel Barbe a annoncé sans rire.
On ne va pas vous la jouer sur l’air vantant que c‘était mieux avant, même si une pointe de nostalgie s’est lovée dans notre quotidien au sortir du salon Retromobile. Non, ce serait trop simple et réducteur. Disons qu’avant, c’était différent. Ceci dit, il est des études d’opinion qui ont tendance à démontrer que le passé n’était pas si attardé et que l’évolution ne s’est pas faite dans le même sens pour tout le monde. Ainsi cette approche sur un entretien automobile qui s’est apparemment caractérisé par la hausse des tarifs de ses prestations.