Il y a quelques semaines, le groupe automobile français PSA se réjouissait à juste titre de pouvoir réinvestir un marché iranien qui en pince pour ses produits. A cause d’un embargo international, Peugeot avait dû faire ses bagages d’Iran précipitamment. Un départ qui remonte en 2012 et peut-être un peu trop précipité. Ainsi, si les Iraniens veulent faire des affaires, ils ont aussi de la mémoire. A un point tel que l’on apprend que le blason tricolore a dû s’acquitter des indemnités pour revenir en grâce.
Vous l’aurez sans aucun doute remarqué, notre époque est comme un précipité instable. Les repères se floutent, les discours officiels sont de moins en moins audibles, et les valeurs autrefois les plus établis vacillent. Là-dessus, on constate une volonté de réformer des sujets dont on cherche encore la véracité. Jusqu’à tout mélanger. Prenez par exemple la dernière qui a traversé comme un météore l’actualité : celle de l’orthographe.
Il fait florès dès qu’il s’agit de partir en vacances du côté de la montagne. Et ça tombe bien puisque ce mois de février est la période d’une transhumance vers les stations de ski. Celui-là est le coffre de toit, accessoire bien utile pour augmenter le volume de chargement de la voiture. Ceci dit, attention. On ne le choisit pas par hasard et son utilisation doit aussi être pensée. Voici quelques conseils.
Les conditions du dépistage des stupéfiants sur la route ont changé. C’est une conséquence de l’entrée en vigueur de la loi n°2016-41 dite « de modernisation de notre système de santé ». En attendant la mise en place, un jour, de tests électroniques, c’est une évolution qui va permettre aux forces de l’ordre d’être plus réactives pour constater cette conduite addictive qui pèse de plus en plus lourd dans la comptabilité macabre de la mortalité routière.
Au moment où les statistiques sortent pour mieux identifier quelles sont les voitures les plus volées dans l’hexagone, il est un autre indicateur qui nous apprend beaucoup sur la manière dont les délinquants accomplissent leur larcin. Si, autrefois, l’effraction et la violence physique étaient l’avers et le revers du vol, il suffit à présent d’une souris pour être fait comme un rat.
Dans une automobile de plus en plus connectée qui roule doucement mais sûrement vers son autonomie, les enjeux de demain se situent moins dans les parties mécaniques que dans la sphère électronique. L’occasion d’ouvrir de nouvelles voies de développement naguère laissées pour compte. Comme, bientôt, on nous promet que l’on n’aura plus rien à faire une fois embarqué dans sa voiture intelligente, il s’agit de penser à notre confort. Voire même à notre bien-être. Une idée que Renault envisage de pousser jusqu’au paroxysme.
La commission technique créée à la suite du scandale du diesel chez Volkswagen continue son ouvrage en s’invitant chez les constructeurs. Ceci afin de passer au peigne fin leur gamme roulant au diesel et ainsi établir un état des lieux sur les émissions polluantes de ses véhicules. Après Renault, c’est au tour de Mercedes d’être passé au crible. Si le Captur et l’Espace ont fait douter chez le losange, il semblerait que ce soit la Classe S qui pose question sous l’étoile.
Il n’est pas une nouveauté qu’en matière de délinquance, l’Île de France n’est malheureusement pas épargnée. Les malveillants trouvent là matière à s’émanciper et la chose automobile est une cible qui n’est pas oubliée. Il y a peu, on a eu droit à un trafic de carte grise sur des véhicules accidentés remis en circulation sous le sceau d’experts peu recommandables. Aujourd’hui, c’est une fraude au permis de conduire qui a été mise à jour.
La mortalité routière ne faiblit pas, bien au contraire. Pourtant, les mesures pleuvent et nos gouvernants s’en remettent au Dieu radar pour inverser une courbe. Pourtant, les indicateurs s’accordent pour signaler que cette triste progression puise en grande partie sa progression dans celle du taux d’alcoolémie de celui qui cause le drame sur la route. Alors que faire ? La Sécurité routière a pensé à une vidéo parlant des victimes collatérales.
Les syndicats des taxis nous préviennent. Mardi 26 janvier, ils seront dans la rue. Et l’ambiance sera plus chaude qu’en juin 2015, au moment d’une manifestation contre l’application UberPop de l’enseigne Uber. UberPop a depuis disparu mais les raisons de la colère des taxis sont toujours d’actualité. Leur ressentiment contre les Véhicules de Transport avec Chauffeurs est vivace. Et ce n’est pas une ressente décision du Conseil Constitutionnel qui va les amadouer.