Sorte de coupé AMI8 doté d’un moteur Wankel, la Citroën M35 n’a été vendue qu’à des clients-testeurs triés sur volet. Ils devaient aider à la mise au point d’une nouvelle technologie tout en faisant de la pub à la marque, comme ceux du programme Ferrari XX, mais sur route ouverte…
Dans les années 60, Citroën a étudié un petit monospace urbain novateur, nommé G-Mini. Les dirigeants du double chevron ont hésité à le produire, avant de dire non, hélas…
Décrié, voire méprisé, le V6 PRV a pourtant équipé énormément de voitures différentes. Produit à près d’un million d’unités, il durera près de 25 ans et se fraiera même son chemin dans une supercar…
Pendant plus de 40 ans, le moteur diesel Indenor, conçu par Peugeot, a mu indéfectiblement des millions de véhicules, et pas uniquement français. Les taxis lui disent merci, et ils ne sont pas les seuls !
Celui qui expliquait que ses Ford T pouvaient être de toutes les couleurs pourvu qu’elles soient noires, n’était pas qu’un brillant visionnaire et l’un des créateurs du XXe siècle automobile. Il était également mégalomane et antisémite. Un documentaire rappelle les faits.
Patron du design Mercedes durant 24 ans, Bruno Sacco nous a quittés le 19 septembre dernier, même si la chose n'a été annoncée que le 28 par sa famille. Sous sa brillante férule, la marque allemande a produit quelques-unes de ses plus belles autos.
Il y a 130 ans, une auto atteignait 20 km / h. La Benz Velo était non seulement l'auto la plus rapide du moment, mais elle sera la première à être fabriquée en série, à 1 200 exemplaires.
Dès 1954, la Panhard Dyna Z montrait comment économiser du carburant, avec son aérodynamique exceptionnelle et sa légèreté inouïe, permise par une fabrication tout en alliage d’aluminium.
Fêtant ses 90 ans en avril 2024, la révolutionnaire Citroën doit beaucoup à une société américaine, Budd, spécialisée dans la conception et la réalisation des carrosseries métalliques.
S’il a créé la marque de voitures, voire la marque tout court, la plus célèbre du monde, le Commendatore conservait des manières rustres et un rapport aux femmes bien de son époque (traduisez : machisme débridé), ainsi que le rapporte Brock Yates dans son livre : «Enzo Ferrari, l’homme et la machine ».