Et si, finalement, on s’était totalement trompé sur les ambitions d’Uber ? Et si ses véhicules de transport avec chauffeur n’avaient été finalement qu’un leurre pour un autre objectif : celui de la collecte de données stratégiques sur l’état du trafic afin de proposer aux villes des statistiques leur permettant d’orienter leur politique ? une interrogation qui se fait jour avec « Uber Movement » qui fait du coup d’Uber non plus le diable en personne mais le bon samaritain aidant à la rationalisation des flux…
La Mairie de Paris et la Préfecture de Police réfléchissent à mettre en place un système de contrôle automatique pour verbaliser les conducteurs qui n'ont pas la vignette Crit'Air ou ne respectent pas les restrictions de circulation. Très peu de PV ont été dressés depuis juillet.
On lui réduit son champ d’action et dans ce qui lui reste d’espace on lui impose des restrictions de circulation. On veut la bannir des cités, on culpabilise son usage et elle est un sujet de fiscalisation permanent. Vu comme ça, les jours de la voiture sont comptés, d’autant plus que les politiques sont décidés à l’envoyer à la casse. Mais ce n’est que la partie immergée de l’iceberg. En profondeur, l’automobile reste indispensable. Pire, ce qui se passe actuellement va exacerber une fracture sociale.
À Paris, les maires de douze grandes villes se sont engagés à ce qu’une part importante de leurs territoires devienne une zone à zéro émission d'ici une douzaine d'années.
La circulation des véhicules à Paris est décidément un sujet brûlant. Pèle mêle, on a déjà eu droit à la piétonisation des voies sur berge, aux vignettes écologiques discriminantes, et les carrefours sans feux tricolores vont apparaître tandis que la fin des véhicules à propulsion thermique a déjà été annoncée. Et ce n’est pas fini. L’arrivée des véhicules autonomes, ou l’apparition de nouvelles formes de mobilités partagées, qui vont du covoiturage à l’autopartage, changera encore la donne. Mais il y aura une constante : il faudra payer pour rouler.
C’est peut-être un coup d’arrêt pour une signalisation routière qui date de 1923. Le feu tricolore est à la croisée des chemins et au carrefour de toutes les réflexions. Côté politique, les verts voient rouge lorsqu’ils l’aperçoivent et ils ont décidé de l’éteindre à Paris, dans le cadre d'un projet baptisé "Stratégie piéton" de la Ville. Une mise à pied donc qui sera effective dans un 14e arrondissement de Paris qui testera la circulation sans feux rouges pendant six mois.
Faute d'un accord avec le port autonome de Paris, les créateurs des Sea Bubbles ont décidé de stopper le projet dans la capitale. Ils vont aller mettre en place ces bateaux volants à Genève.
La deuxième édition du salon Autonomy se tient jusqu'à samedi à Paris. Objectif: contribuer à redéfinir la mobilité urbaine. Maîtres-mots: électricité, connectivité et partage. De quoi susciter la curiosité de Caradisiac.
Des experts véreux qui remettent en circulation des véhicules accidentés sans en avoir vérifié les réparations, ce n’est pas un fait nouveau mais c’est aussi une situation qui se fait de moins en moins rare. La preuve avec cette nouvelle affaire qui touche encore une région parisienne qui envoie sur les routes de France des tombeaux roulants qu’il faut ensuite retrouver pour les mettre hors circulation. Au grand dam des victimes qui ont du mal à se consoler d’avoir échappé à un pire drame que celui d'un préjudice économique.
Smart électrise la capitale. Le constructeur a imaginé un lieu éphémère pour présenter ses nouveaux modèles branchés, mais aussi se détendre, faire du sport, manger et se cultiver grâce à des conférences dédiées aux solutions vertes de demain.