À Paris, les maires de douze grandes villes se sont engagés à ce qu’une part importante de leurs territoires devienne une zone à zéro émission d'ici une douzaine d'années.
La circulation des véhicules à Paris est décidément un sujet brûlant. Pèle mêle, on a déjà eu droit à la piétonisation des voies sur berge, aux vignettes écologiques discriminantes, et les carrefours sans feux tricolores vont apparaître tandis que la fin des véhicules à propulsion thermique a déjà été annoncée. Et ce n’est pas fini. L’arrivée des véhicules autonomes, ou l’apparition de nouvelles formes de mobilités partagées, qui vont du covoiturage à l’autopartage, changera encore la donne. Mais il y aura une constante : il faudra payer pour rouler.
C’est peut-être un coup d’arrêt pour une signalisation routière qui date de 1923. Le feu tricolore est à la croisée des chemins et au carrefour de toutes les réflexions. Côté politique, les verts voient rouge lorsqu’ils l’aperçoivent et ils ont décidé de l’éteindre à Paris, dans le cadre d'un projet baptisé "Stratégie piéton" de la Ville. Une mise à pied donc qui sera effective dans un 14e arrondissement de Paris qui testera la circulation sans feux rouges pendant six mois.
Faute d'un accord avec le port autonome de Paris, les créateurs des Sea Bubbles ont décidé de stopper le projet dans la capitale. Ils vont aller mettre en place ces bateaux volants à Genève.
La deuxième édition du salon Autonomy se tient jusqu'à samedi à Paris. Objectif: contribuer à redéfinir la mobilité urbaine. Maîtres-mots: électricité, connectivité et partage. De quoi susciter la curiosité de Caradisiac.
Des experts véreux qui remettent en circulation des véhicules accidentés sans en avoir vérifié les réparations, ce n’est pas un fait nouveau mais c’est aussi une situation qui se fait de moins en moins rare. La preuve avec cette nouvelle affaire qui touche encore une région parisienne qui envoie sur les routes de France des tombeaux roulants qu’il faut ensuite retrouver pour les mettre hors circulation. Au grand dam des victimes qui ont du mal à se consoler d’avoir échappé à un pire drame que celui d'un préjudice économique.
Smart électrise la capitale. Le constructeur a imaginé un lieu éphémère pour présenter ses nouveaux modèles branchés, mais aussi se détendre, faire du sport, manger et se cultiver grâce à des conférences dédiées aux solutions vertes de demain.
Après les voitures à moteur diesel (en 2024), Anne Hidalgo souhaite bannir de la capitale les modèles à moteur essence d'ici 2030, un délai relativement court. Dans douze ans, 80 à 90 % du parc automobile pourrait donc être interdit dans Paris !
Attention : cette année, la circulation sera interdite dans tout Paris intra-muros, de 11 à 18 heures. Il y aura toutefois de nombreuses dérogations et les transports en commun circuleront normalement.
Le gouvernement lance ce mardi les Assises de la mobilité, dont l’objectif est, selon les termes mêmes d’Emmanuel Macron, « de repenser et de réarticuler les mobilités du XXIème siècle. » Un vaste programme dont l’automobile est bien sûr l’un des éléments-clés.