"Je veux réduire la place du diesel et miser sur la voiture électrique individuelle". La candidate PS à la mairie de Paris compte bien réduire l'utilisation de l’automobile pour limiter la pollution dans la capitale. Un programme qui risque
Le ministre de l'intérieur a demandé officiellement au CNSR de plancher sur le développement d'« enregistreurs de données de la route », des boîtes noires à intégrer aux véhicules et à interroger en cas d'accident. Le sujet n'est pas nouveau, mais le consensus nécessaire à un tel déploiement paraît désormais acquis.
Hier, le gouvernement a annoncé qu'il allait lancer un Appel à Manifestation d'Intérêts (AMI) concernant le véhicule du futur, un programme initié voilà quelques années sous le précédent quinquennat. Cet AMI entre dans le cadre du programme d'investissements d'avenir et sera soutenu par une enveloppe budgétaire de 250 millions d'euros. Son but : mobiliser les énergies sur la voiture du futur.
On se souvient que lors de son investiture, le dernier président de la république française en date, François Hollande, avait choisi une Citroën DS5 Hybrid4 (cf. photo) spécialement aménagée que le constructeur aux chevrons avait doté d’un toit entièrement découvrable.
C'est une décision qui est passée totalement inaperçue hier mais le Sénat a voté la dépénalisation du stationnement. En clair, cela signifie que chaque municipalité peut désormais fixer le prix du stationnement.
Le site de PSA Peugeot Citroën de La Janais, situé à proximité de Rennes, est-il voué au même destin que celui de la C6 dont la production fut stoppée il y a quelques mois ?
L'Europe, décidément, ce n'est comme le cochon, tout n'y est pas bon. D'aucuns s'en réjouissent lorsqu'elle permet de leur offrir un marché à conquérir, mais les mêmes se rétractent dès lors qu'elle devient un peu trop intrusive. La croisée des chemins semble être ainsi arrivée entre la puissante fédération allemande de l'automobile et les institutions européennes. Les uns pensent voitures statutaires et ostentatoires alors que les autres ont une ambition environnementale. Voilà Angela Merkel prise entre deux feux.
C'est désormais acté, la préconisation d'une limitation électronique de la vitesse des utilitaires légers (- de 3,5t) à 120 km/h faite en 2010 est maintenant votée par les députés européens, elle entrera en vigueur l'an prochain. L'objectif n'est pas tant la sécurité mais les rejets CO2.
Ah ces sacrés radars ! Ils en ont fait du chemin depuis des décennies et ils sont en passe de devenir la règle sur le bord de nos routes plutôt que les exceptions. Et plus encore aujourd'hui qu'hier et sans doute moins que demain. Les indicateurs ont beau révéler que les conduites addictives, de l'alcool aux stupéfiants et que la somnolence sont de puissants vecteurs accidentogènes, nos dirigeants s'en remettent toujours à la boite à photos en diabolisant la seule vitesse. C'est que, dame, ça rapporte, et en ces temps difficiles, il faut bien faire face. Un récent audit de 40 millions d'automobilistes a même parlé de « pièges ». Mais comment poussent-ils sur le bord du bitume ces engins que d'aucuns voient en symbole d'une fiscalité routière ? Eh bien à l'issue d'un processus dans lequel ceux qui dénoncent ne sont pas étrangers...
Rappelez-vous, nous étions en 2011. Claude Guéant, alors ministre de l'intérieur, décidait qu'il n'y aurait plus aucun signalement des radars installés sur le bord de nos routes. Mais alors que les panneaux fixes étaient enlevés, une vague de