Christian Estrosi n'aime pas les dirigeants de Renault depuis son passage au Ministère de l'Industrie et la création du fonds stratégique d'investissement qu'il a initié pour sauver les constructeurs français alors en pleine crise. Mais sa dernière saillie plutôt virulente (il accuse Renault de mensonge permanent) relayée dans tous les médias est-elle justifiée ? Où est-ce une réaction impulsive à une information mal décryptée ? La question est posée.
Sous-traitant de Toyota, le site de Toyotomi Europe situé à Onnaing, dans le département du Nord, a inauguré mardi une extension afin de produire des pièces pour la nouvelle génération de Yaris, doublant au passage son effectif.
A sept mois des élections présidentielles, la campagne a déjà commencé : François Hollande, candidat aux primaires socialistes, s'est rendu hier à Sochaux pour visiter le site de PSA.
C'est de saison, l'élection présidentielle approchant, le politique tend à se prendre le bec avec le patron d'entreprise accusé de câliner son gros profit aux dépens du citoyen. Après Carlos Ghosn attaqué par Christian Estrosi, voici la joute verbale entre Xavier Bertrand ministre du travail et Christophe de Margerie, tout puissant PDG de Total qui se plait à nous rappeler que les prix de l'essence ne peuvent qu'augmenter et qu'il va falloir qu'on s'y habitue. Et si Total répercute les hausses, dites vous bien que c'est pour éviter que l'entreprise coule ….
Christian Estrosi était ce matin l'invité de France Info et après avoir abordé le sujet du rapport critique et critiqué de la Cour des Comptes sur les services de Police, l'ancien ministre de l'Industrie était interrogé sur la sortie des pouvoirs publics du financement du projet électrique de Renault. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'homme à l'origine du montage financier est très en colère contre Renault et Carlos Ghosn qu'il accuse de ne jamais tenir ses engagements.
Olivier Mazerolles recevait le 19 juin Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, sur le plateau de BFM TV. Elle a ainsi été invitée à réagir sur l'actualité et, entre autres, sur la grogne qui agite
L’esprit français se caractérise notamment par son ironie. Ce soir je propose à la FIA la création immédiate d’un Grand Prix en Corée du Nord.
Pensant surfer sur la vague anti-voiture qui éclabousse l'hexagone et prend de l'ampleur année après année, le maire PS de Strasbourg, Roland Riess, a souhaité organiser un référendum pour soumettre à ces concitoyens une idée en vogue : élargir la zone de limitation de vitesse à 30 km/h à l'ensemble du centre de la ville. Une majorité de strasbourgeois a simplement dit non.
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant l'annonçait hier : tant qu'un accord découlant d'une concertation n'aura pas été trouvé, le démontage des panneaux avertisseurs de radars serait suspendu. Une décision qui fait suite à un courrier
La vague de protestation qui a provoqué la fronde des députés UMP, le tout associé à la publication des intentions de vote à la Présidentielle 2012 (très peu favorables à N.Sarkozy malgré l'affaire DSK) a très probablement contraint l'Elysée via le ministre de l'intérieur à revoir sa copie et à suspendre le démontage des panneaux indicateurs de radars. Rien n'est pour autant validé, on introduit juste un semblant de réflexion dans le processus qui pourrait coûter encore plus d'argent à l'Etat. Donc à nous même !