Si la situation n’était pas aussi grave, Volkswagen pourrait s’amuser d’une situation qui l’oblige encore et toujours à faire face à son action coupable sur les moteurs diesels sortis de ses usines. En ce moment, le groupe est convoqué par des parlementaires, des cours de justice et des enquêteurs qui lui demandent comment il a pu en arriver là. Une série « audition » pourrait donc égayer la gamme. Mais le moment n’est pas à rire. Surtout quand l’ex-patron Martin Winterkorn jure n’avoir jamais rien su d’un trucage qui a créé un nouveau terme : dieselgate.
Volkswagen aurait-il dissipé l’écran de fumée cachant des connivences entre le pouvoir politique et les constructeurs automobiles carburant à la fraude sur les émissions polluantes ? Il faut dire que l’énormité de l’existence d’un logiciel truqueur rendant les moteurs diesels vertueux au regard d’une réglementation soucieuse de notre santé ne semble plus être une exception. Mais une règle chez des fabricants de voitures, qui, depuis, sont un à un montrés du doigt pour leurs faux résultats. De quoi se poser des questions.
Le « Dieselgate » initié par les logiciels truqueur de Volkswagen continue à produire ses effets nocifs sur l’industrie automobile. Fiat Chrysler ne serait pas très clair, Renault se serait fait capturer son Captur, mais cette fois, c’est Citroën qui se serait fait piquer par son Cactus. Ce modèle intrigue le Joint Research Center (JRC), un laboratoire scientifique rattaché à la Commission européenne. C’est la première fois que la propreté des moteurs du groupe PSA est remise en cause.
La voiture électrique plafonne à 1 % du marché. Nous n'en voulons pas. Pourtant, à force de ne pas en avoir envie et de brûler du pétrole pour des trajets minuscules, nous finirons par en avoir un besoin urgent.
Le gouvernement a finalement tranché sur les notions de véhicules propres. Ce terme n'existe d'ailleurs plus et il faudra désormais parler de voitures à faibles et très faibles émissions polluantes. Un terme surprenant alors que le décret ne parle que du dioxyde de carbone, qui n'est pas un polluant, et fait totalement abstraction des dioxydes d'azote.
La ministre de l'Environnement a réagi à l'ouverture d'une information judiciaire visant le Losange. Elle déclare n'avoir aucune raison de penser que Renault a triché comme Volkswagen. Et annonce que d'autres constructeurs pourraient être visés par une enquête.
Coup de tonnerre dans le groupe automobile Fiat Chrysler. Aux États-Unis, le blason est mis en accusation par l'agence environnementale américaine pour avoir utilisé un logiciel destiné à cacher le dépassement de seuils d'émissions de gaz nocifs. Si les faits étaient avérés, la marque rejoindrait Volkswagen au pilori. En attendant, sa valeur boursière est en net repli.
Lors des journées de circulation alternée, les métros, bus et autres tramways étaient en accès libre dans la capitale. Une mesure à laquelle Valérie Pécresse, la présidente de la région, souhaite mettre fin car elle est trop coûteuse.
Samsung a franchement besoin de redorer son blason après le retentissant échec de son téléphone Galaxy Note 7. Un appareil qui a une fâcheuse tendance à l’auto combustion, dans le meilleur des cas. Tout ça à cause de sa batterie. C’est pourtant encore sur ce thème que l’enseigne veut marquer les esprits, mais pour la voiture cette fois. C’est ce qui s’appelle avoir du courage.
L’annonce fait suite à l’arrestation hier d’un de ses dirigeants par le FBI. Lien de cause à effet ou nom, Volkswagen communique sa bonne composition à verser une pénalité supplémentaire de 4,3 milliards de dollars et à plaider coupable pour mettre un terme à l’enquête pénale sur les moteurs diesel truqués aux États-Unis.