Le Président-candidat veut aider les jeunes à obtenir plus facilement le permis, qu'il avoue avoir lui même raté au premier passage.
Faisant face à l’augmentation continue des prix des carburants, de nombreux professionnels, VTC, Taxi et autres routiers, commencent à hausser le ton, et à se mobiliser un peu partout en France. Vous l’avez peut-être constaté près de chez vous, opérations escargots, barrages filtrants ou encore blocage de dépôts pétroliers ont lieu en ce moment même aux quatre coins du territoire.
Emmanuel Macron veut mettre en place un leasing de voitures électriques soutenu par l'État afin de permettre aux plus modestes de passer à l'électrique.
Les déclarations de patrimoine des candidats viennent d'être dévoilées. On est allé voir la case automobile… et on n'a rien trouvé de fou !
Selon le candidat PCF, rendre le permis gratuit pour les moins de 25 ans permettrait d’instaurer "un droit à la mobilité pour tous".
Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher à l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.
Un sondage publié ce mardi illustre à quel point la transition vers l’électrique peut bousculer la population: jeunes contre « moins jeunes », urbains contre ruraux, les opinions apparaissent très tranchées. Allez donc conduire une politique de transition énergétique avec tout ça…
Certains ont tendance à l'oublier pourtant les automobilistes au nombre de 40 millions sont aussi des électeurs. En cette période de pré-campagne présidentielle, les propositions des futurs candidats ne les vraiment pas indifférents comme le montre un sondage Odoxa-Backbone Consulting réalisé pour nos confrères du Figaro.
Le quasi-candidat à la présidentielle s'est aussi montré favorable à un retour aux 90 km/h.
Le prix du carburant ne cesse de grimper, et avec lui la grogne des usagers. Cela favorise certes l'essor des motorisations électrifiées, moins gourmandes en carburant, mais plombe dans le même temps le budget de la majorité des automobilistes, pas assez fortunés pour acquérir un véhicule récent et "propre". De quels leviers d'action les pouvoirs publics disposent-ils?