Le constructeur coréen Hyundai prépare activement son retour en compétition et en WRC. L’an prochain il sera en effet officiellement aligné et tentera de disputer la victoire aux Volkswagen Polo, Citroën DS3 et autres Ford Fiesta grâce à sa toute nouvelle i20. On connaît maintenant l’identité du premier pilote d’essai.
Si le sport automobile tel que nous le vivons actuellement est intéressant il ne peut plus prétendre à soulever les foules, et provoquer des scènes de liesse populaire comme cela pouvait être le cas durant les grandes heures du rallye. Une
Absent des rallyes depuis 2003, l'équipe de développement Hyundai commence à se préparer activement pour la saison 2014 du championnat du monde WRC. Les premiers tests sur route ont été effectués en France la semaine dernière. D'autres essais vont se dérouler tout prochainement sur d'autres surfaces.
Parfois au détour d'une vidéo postée sur internet, d'un lien vers une photo ou d'un proche d'une écurie qui publie des infos intéressantes, on se mets à découvrir un univers qu'on ne connait pas. Ici le rallye tout terrain. Pas celui qu'on connait tous, à base de groupe N, A, B, WRC, S2000 ou S1600 qui ressemblent à des voitures de série modifiées. Ici on parle de prototypes intrigants, qui chantent glissent et roulent fort dans les petites routes. Et ce qui m'avait le plus étonné c'était le chant de ce moteur BMW de 2 litres qui semble prendre des tours à l'infini dans ce petit buggy vert sautillant.
Les dépassements en rallye sont relativement rares. En théorie les voitures sont lancées avec un écart suffisament important pour que cela n'arrive pas, mais il suffit d'un incident ou d'une touchette... Dans ce cas, si la différence de roulage
Sebastien Loeb prend au sérieux le challenge qu'il s'est fixé avec Peugeot et Red Bull pour jouer la victoire à Pikes Peak cette année et c'est au Mont Ventoux qu'il va finir la mise au point de sa 208 T16 diabolique de 875cv pour 875kg un rapport poids puissance qui décoiffe ! En effet quoi de mieux que cette célèbre montée qui accueille aussi bien le tour de France qu'une prestigieuse course de côte. Récemment j'écrivais les bases d'un article résumant l'histoire de Pikes Peak afin qu'on soit tous dans le bain avant la tentative d'exploit de notre prodige national.
Tapez donc « Peugeot 208 T16 » dans votre moteur de recherche. Il existe de (très) fortes chances pour que vous tombiez en premier lieu sur des articles consacrés à la Peugeot 208 T16 Pikes Peak, cette 208 prototype qui sera pilotée à la fin du mois de juin par le nonuple champion du monde des rallyes français, Sébastien Loeb, sur les hauteurs de la plus célèbre course de côte du monde. Seulement, cette 208 T16-là n’a pratiquement rien à avoir avec une 208.
Camion, pick-up, voiture électrique, vintage, buggy, monoplace typée rallye (comme les Dallenbach qui ne ressemblent à rien d'autre), quad, moto, side-car, mobylette, supermotard et bien d'autre encore. Cette course n'est décidément pas comme les autres et se permet encore plus de liberté de catégories que nos courses Européennes pourtant déjà bien hétérogènes.
Après le départ d'Audi et Peugeot fin des années 80, la catégorie unlimited ne connaitra que deux noms dans les années 90. A ma droite le Japonais Nobuhiro Tajima, à ma gauche le Néo Zélandais Rod Millen. Tous deux ont plus de quarante ans sur la grille de départ et ils subtiliseront tous les trophées de la décennie quand la catégorie unlimited concourrait (8 courses sur les 10 années) soit 3 premières places pour Tajima et 5 pour Millen.
Ah les années 80. Le rallye, les Groupe B, Audi, Peugeot, les coupes de cheveux improbables et les pilotes toujours aussi inconscients. Assis dos à un jerrycan d'essence, des chevaux débridés pour l'occasion, la volonté d'en découdre à haute vitesse et les chronos qui vont tomber. Très ancrée dans la tradition des courses US automobiles, Pikes Peak va prendre un virage façon teuton avec l'armada Audi qui arrive avec la talentueuse Audi Quattro, ses quatre roues motrices, son énorme turbo et son expérience en rallye.