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Entre la marque américaine Harley-Davidson et le Président des États-Unis Donald Trump, tout avait pourtant bien commencé avec même une visite en forme de parade à la maison Blanche. Depuis, les nuages noirs se sont amoncelés au-dessus de la tête de ce duo américain. La faute à Donald Trump qui a ouvert une guerre commerciale en taxant des matières premières importées. Les pays concernés ont réagi en relevant les tarifs douaniers des exportations. Dont celle des motos de Milwaukee qui, pour échapper à une inflation des tarifs, a décidé de délocaliser la production…

La marque de Varese effectue actuellement une massive campagne de rappel pour un problème majeur situé au niveau de la fourche. De nombreux modèles sont concernés et le souci est tel que MV Agusta que les propriétaires ont été avisés de ne pas utiliser leur MV jusqu'à ce qu'ils aient été vérifiés par un concessionnaire officiel.

Citroën pense aux motards avec son Jumper Bike Solution, un utilitaire capable d'accueillir deux machines.

La perspective avait été avancée lorsque le groupe Volkswagen pensait sérieusement à se séparer de Ducati. Puis la firme de Borgo Panigale est restée dans le giron VAG, mais sa pérennité est toujours sujette à caution dans une famille automobile qui doit payer ses errements du « dieselgate ». De quoi s’agit-il ? D’un rapprochement avec le constructeur indien Hero. Pour une entrée sur les marchés émergents avec des modèles de petite cylindrée. Pour commencer ?

Pendant que le Président des États-Unis Donald Trump tire à boulet rouge sur son compatriote et fabricant de motos Harley-Davidson qui n’a pas le sens du sacrifice national à son goût, son homologue russe Vladimir Poutine va faire fabriquer ses motos nationales pour sa propre escorte. Et autant vous prévenir que la machine ne fait pas dans la dentelle…

C’est un élément essentiel sans lequel piloter notre deux roues motorisé favori serait un calvaire. D’ailleurs, mal rembourré, il est une torture, trop haut, c’est fatigant, et trop bas, c’est compliqué. Et pourtant, peu y pensent. Sauf Honda. Voici la selle nouvelle qui pourrait bien nous ramener à l’essentiel…

Depuis juillet dernier, le président des États Unis Donald Trump ne décolère pas contre son compatriote Harley-Davidson. Pris dans la guerre commerciale déclenchée par le pensionnaire de la Maison Blanche contre le reste du monde, le constructeur, pour éviter les dégâts collatéraux, a décidé de délocaliser. Provoquant l’ire du président qui a toujours la dent dure contre Harley. La preuve avec ce dernier tweet.

Il n’y a pas le feu à la maison, mais dans un monde des affaires qui s’arc-boutent sur les résultats financiers, c’est le genre de signal qui donne un coup de froid. Après huit années positives, Ducati a vu ses ventes baissées de 7,4 % dans le monde. Dans un groupe automobile Volkswagen qui n’a de cesse de s’interroger sur la pérennité de son constructeur moto dans sa famille, la chose est à regarder de près.

Les masques tombent parmi les caciques d’une Sécurité routière qui semble avoir perdu le cap. La dernière intervention de son délégué est un grand excès de vitesse dans une succession dramatique de mots qui avoue une pensée qui ne l’est pas moins. Sachez chers motards et scootéristes, qu’un nid-de-poule qui se découvre sous vos deux roues n’est pas un mal. C’est même un bien que ce genre de chaussée dégradée permet d’éviter les accidents…

C’est le genre de manipulation que l’on croyait réservé aux constructeurs automobiles. Mais voilà que du japon nous vient la découverte que l’on peut aussi falsifier les contrôles d'émissions des véhicules lorsque l’on est une marque de moto. Yamaha en est le précurseur…