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Harley Davidson est désormais bel et bien pris dans la tourmente d’une guerre commerciale déclenchée par des mesures douanières prises par les États-Unis contre l’acier et l’aluminium, ce qui a engendré des représailles de la part, entre autres de l’Union Européenne. Celle-ci taxe depuis quelques jours les produits de l’Oncle Sam, dont les moto Harley-Davidson. Pour éviter de voir ses tarifs augmenter de 25 % d’un coup, la firme de Milwaukee a annoncé hier qu’elle délocaliserait sa production pour ne pas subir les sanctions. Mais, du coup, elle s’est attiré les foudres de son Président…

La guerre commerciale entre les États-Unis et le reste du monde dont fait partie l’Union Européenne est lancée. Avec ses victimes. Les taxes douanières des uns entraînent les droits de douane des autres et, sur le vieux continent, pour ce qui nous concerne, c‘est Harley-Davidson qui se retrouve en première ligne. La marque de Milwaukee a réagi en décidant de délocaliser sa production hors de son pays pour ne pas voir les tarifs de ses motos grimper de 25 %. Ce qui n’a pas plu au Président Donald Trump…

Pour tenter d'atténuer l'impact d'un différend commercial croissant entre les États-Unis et l'Europe, Harley-Davidson a révélé son intention de déplacer une partie de sa production à l'extérieur des États-Unis.

Depuis ce week-end, le Royaume d’Arabie Saoudite une révolution sociétale qui en dit cependant long sur le chemin qui lui reste à parcourir pour être catalogué parmi les pays dits modernes. La gent féminine est ainsi à présent autorisée à prendre le volant seule. Les femmes peuvent y passer le permis et les premières à prendre la route ont été celles qui avaient réussi à acquérir un permis international. Mais elles ne veulent pas en rester là. Elles réclament ainsi l’opportunité de se retrouver, aussi, derrière un guidon…

Donald Trump, ci-devant Président des États-Unis a dégainé en premier et l’Europe, après un certain temps, a fini par riposter. La guerre commerciale est déclarée dans le monde et elle a été lancée par les États-Unis qui appliquent des taxes sur l’acier et l’aluminium venus du Vieux Continent et de la Chine. Les automobiles sont aussi dans le collimateur. Mais de ce côté-ci de l’Atlantique, ce sont les motos de l’Oncle Sam qui payent les pots cassés.

Le 1er juillet, il faudra s’astreindre à limiter sa vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires. Un rythme inscrit dans le marbre depuis que le décret instaurant l’allure a été publié au sacro-saint Journal Officiel. Il n’y a donc plus d’alternative et il faudra rouler à la même vitesse que les poids lourds de plus de 3,5 t avec nos deux roues motorisées… Pour autant, des combats d’arrière-garde ont lieu. Ainsi en Creuse, où le conseil départemental a décidé de faire la grève des panneaux…

C’est une bonne idée que nos voisins européens ont déjà adoptée mais que mes méandres de nos procédures rendent encore impossible à réaliser dans notre verte contrée. Et pourtant, elle pourrait permettre de sauver des vies en réduisant les délais d’intervention. Il s’agit de la moto médicalisée qu’un Dijonnais ancien gendarme souhaiterait intégrer dans la flotte des secours. Mais ce n’est pas si facile…

Dans quelques semaines le réseau secondaire français (à double sens et sans séparateur central) verra sa vitesse maximale autorisée baisser de 10 km/ h passant, dès le 1er juillet 2018, de 90 à 80 km/ h. Tom Tom met en place une mise à jour exceptionnelle disponible dès juillet sur les GPS compatibles...

En ligne de mire un tarif des péages autoroutiers évolutif en fonction du niveau de pollution du véhicule c'est le dernier projet qui vient d'être voté par des députés européens... Si rien n'est encore adopté l'idée est quant à elle bel et bien réelle!

C’est un rappel qui n’arrive pas si souvent qui nous vient de Grande Bretagne au sujet de deux modèles Suzuki. Une opération préventive, ce qui veut dire qu’aucun incident et encore moins d’accident, n’a été constaté. Et, pour le moment, ça ne concerne donc que la perfide Albion. En voici les raisons.