Pour que la limitation de la vitesse ne passe pas à 80 km/ h sur le réseau secondaire (nationales et départementales) la FFMC met en place une pétition en ligne. La voici.
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80 à la place de 90 km/ h sur la plupart des routes départementales et nationales: l’annonce devrait être faite prochainement. La FFMC s'interroge.
Ils sont accomplis avec des moto-cross, scooters, minimotos et autres quads et on les appelle les “rodéos urbains”. Ils pourrissent la vie des quartiers et mettent en danger ceux qui croisent ses trompe-la-mort. Le code de la route est pourtant clair et offre un panel de sanctions qui devraient pouvoir faire taire les bolides et les figures improvisés. Seulement voilà, le contexte politique et social place la problématique sous un angle bien particulier rendant impossible le travail des forces de l’ordre. On ne peut, cependant, laisser les choses en l’état. Un sénateur de l’Essonne, Vincent Delahaye (UDI) a donc décidé de se lancer dans une proposition de loi.
C’est une tendance révélée par l’hebdomadaire Le Point et relayé sur notre site auto : en 2018, la vitesse maximum autorisée sur nos routes secondaires passerait de 90 à 80 km/h. Le sujet n’est pas nouveau mais il relevait jusque-là de l’expérience. Un test qui a pris deux ans et dont on ne sait rien des conclusions qui devaient porter sur l’accidentologie. Qu’à cela ne tienne, le gouvernement imposera ses vues.
Les ralentisseurs dans nos villes, villages et autres lieux de passage à la vitesse que l’on doit casser ont fait florès tandis que leur taille et leur aspect sont devenus de plus en plus dissuasifs. On les qualifie de différents sobriquets comme le gendarme couché ou le dos d’âne. C’est sous cet aspect que l’on abordera le sujet puisqu’un modèle frappé du cheval cabré a fait un saut de cabri sur l’ouvrage, jusqu’à endommager sa robe. Fatalité ? Non. Mais procès et indemnisation oui ! Une fable qui peut servir aux deux roues motorisées…
La période automnale n’épargne pas les usagers de la route, même si la sécurité routière annonce un mois d’octobre plutôt stable dans les accidents de la route. Par rapport à la même période l’année dernière, le chiffre annoncé est le même, c’est 315 personnes qui ont perdu la vie.
La Sécurité routière a décidé de lever le voile sur un phénomène qui n’a eu de cesse de s’amplifier ces dernières années. Un bienfait qui lève le doute d’un déni de la part des autorités. Mais les chiffres sont là : près de 600 000 usagers de la route conduisent sans permis, 700 000 sans assurance. Cela concerne autant les automobilistes que les motards. Et arpenter ainsi la circulation, c’est s’exposer à un grave danger tout en en faisant courir aux autres. Un rappel des conséquences était donc nécessaire.
Le piéton en ville est ce qu’il y a de plus vulnérable dans un flot de circulation continue. Sur le trottoir il est de plus en plus invectivé par les sonnettes des cyclistes toujours pressés et lorsqu’ils traversent la chaussée, ils doivent redoubler de vigilance même en étant dans leur bon droit. Mais le même piéton est aussi un distrait, une vigilance altérée par une addiction à un téléphone portable qui inhibe du monde extérieur. La dure réalité peut s’imposer avec l’accident. Comment faire pour réduire ce risque ? À Honolulu, sur l’île d’Hawaï, on a coupé court au débat en mettant en place une sanction a priori dissuasive.
Direction le circuit Carole pour la piste d'éducation routière CRS/ Attitude Prévention. Les jeunes ont rendez-vous du 16 au 20 octobre prochain.
Les radars flashent... rien de bien nouveau mais pour la première fois le Gouvernement dévoile à quoi servent les recettes des "amendes radars".