Une démarche effectuée dans une parfaite limpidité puisque correspondant à une option de cession dont Daimler dispose depuis 2011. Les Allemands devraient en retirer pratiquement 2,3 milliards d'euros, un apport de capitaux significatifs qu sera injecté, assure-t-on, dans le cœur de métier.

Les deux partenaires souhaitaient alors voir leur enfant devenir un acteur majeur sur le marché des moteurs pour applications marines et industrielles, dans la production d'électricité ou encore l'exploitation des hydrocarbures. Une mission considérée comme accomplie.


Avec ces milliards à venir, Daimler va pouvoir se reconstituer des munitions pour partir un peu plus à l'assaut du marché automobile. Comme un avertissement à la concurrence.