Il est l’heure ; ne serions-nous pas ce soir en direct du Salon de Détroit ?
Pour continuer, tout de même, sur le registre utilitaire entonné depuis mardi, avouez (à votre tour de passer aux petits oignons) que lesdits « trucks » ont la cote à Détroit cette année encore. C’est à se demander ce qui pourra bien venir à bout de cette espèce d’automobiles… encombrantes, gloutonneuses à souhait, aussi sympathiques que nos mini-utilitaires européens adorés. Non, les « trucks » ne sont toujours pas, que cela plaise ou non, que l’on trouve cela scandaleux ou réjouissant, une espèce en voie de disparition. Pas la peine donc de prendre des mesures de protection en leur faveur.
La preuve ou plutôt l’illustration de cette thèse c’est Ford qui nous la sert (pas la kiki mais la thèse hein) sur un plateau d’argent, non pas celui des puits de pétrole du Texas qui se transforment en or liquide et donc dévalué pour quiconque fait de l’or l’alpha et l’oméga de toute existence mais celui de la couleur de son dernier concept, l’Atlas (photo ci-dessous).
Ce machin-là n’est pas un machin du genre ONU mais plutôt un truc qui a la vie dure parce que quand on aime on ne compte pas et Dieu sait (figure patente d’un billet vert) si les Américains et les Américaines raffolent de ce genre d’animal domestique. « Trucks », souvenons-nous bien de leur nom.
(*) Au moment de la reclecture un furieux doute m'assaille: ne faudrait-il pas plutôt écrire sinon parler: « fumachiassent »?
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