Jeremy Clarkson a déjà essayé en novembre dernier la Ferrari 599 GTO et, malgré son goût prononcé pour les bolides au cheval cabré, n'en était pas sorti enchanté. Quelques mois ont passé, une nouvelle saison de Top Gear a commencé, mais il n'a pas vraiment changé d'avis, bien au contraire.

Il lui reproche toujours les mêmes défauts, à savoir une trop grande intrusion de l'électronique, qui se montre toutefois indispensable pour garder la fougue de l'engin sous contrôle. Mais le pire pour le grand frisé réside dans le choix du nom, GTO, qu'il trouve particulièrement malvenu pour une voiture destinée exclusivement à la route ouverte au regard de ses ancêtres mythiques construites à l'origine pour la course, la 250 GTO et la 288 GTO.

Mais, seul juge de paix, quel sera le verdict du chronomètre une fois dans les mains du Stig sur la piste de l'émission ?